L'orage
Datte: 21/04/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... qui que se soit te faire du mal maman ! » Je ponctuais ma phrase de baisers fougueux sur sa joue. « Mon petit » dis elle doucement en caressant mon visage. Je me souviens encore aujourd'hui du sourire qui illuminait son visage à cet instant. * Etrange journée de ma vie, je renais pour avoir franchi le conduit vaginal maternel. Cela me laisse une impression étrange qu'il me faut digérer, j'ai peu de goût pour le jeu autant qu'à la rencontre entre amis. Je dois digérer ce phénomène qui me tombe sur les épaules que je sens frêles en l'occurrence. Ma mère m'observe de loin, inquiète, sans doute pleine de remord, elle fait semblant de s'intéresser à son travail mais le cœur n'y est pas. Une gène s'est installée entre nous, nous avons fait un pas de trop l'un vers l'autre, un pas qui est notre secret commun. Elle a préparé un goûter spécial comme seule une mère peut faire : elle a confectionné un gâteau, elle m'en coupe une part, je la mange avec plaisir et gourmandise pendant qu'elle me regarde. Elle veut me dire quelque chose c'est évident mais comment aborder son fils quand celui-ci est aussi son amant depuis la dernière nuit. « L'orage s'éloigne » dit elle. « Cela te rassure, tu n'auras pas peur cette nuit ». « Si » souffle-t-elle doucement, « j'ai peur tous les soirs ». Je ne dis rien, j'attends une suite qui doit nécessairement suivre. « J'ai peur toutes les nuits, l'orage était un prétexte, j'ai besoin de quelqu'un vois tu ? ». Je hoche lentement la tète, oui, je comprends ...
... qu'elle me parle de sa solitude, de mon père rarement présent, de sa vie de femme qui file au long des jours. « Je suis là ». Je viens de murmurer ces mots, c'est presque inaudible mais je l'ai dit. Maman me sourie : « As tu bien saisi ce que je viens de te dire ? ». Je hoche la tète affirmativement. « Si nous couchons ensemble, nous recommencerons comme la nuit dernière ». Je la regarde dans les yeux, « Ce sera notre secret ». Elle a un rire de dérision, « Crois tu que l'on puisse vivre avec un si lourd secret ? ». Je lui souris à mon tour, « Essayons ». J'ai dit cela avec un enthousiasme qui la fait franchement sourire. « Crois tu que les choses soient si simples ? », « A nous de ne pas les compliquer » lui ai-je répondu aussitôt, avec spontanéité. Elle baisse la tète et semble réfléchir, « C'est compliqué à vivre cette histoire » me dit-elle, soudain grave. « A nous de la vivre simplement » dis je, étonné encore par le sérieux de ma réplique, « Nous pouvons essayer ». Elle se redresse : « Et si cela ne marche pas ? pourrons nous faire marche arrière ? ». « Pourquoi veux tu que cela ne marche pas ? nous ne sommes pas étrangers quand même ! ». « Cela va changer beaucoup de choses entre nous ». « Que veux tu que ça change puisque de toute façon nous nous aimons ». Elle me regarde soudain surprise de ma dernière phrase. « Oui, nous nous aimons mais j'ai peur d'établir d'autres relations avec toi, des relations qui ne sont pas de simple relations mère-fils ». Je me lève alors et ...