1. L'orage


    Datte: 21/04/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    ... nouveau la tète avec frénésie. « Mon amour ! » et elle me repris dans ses bras. « Tu sais, il ne faudra le raconter à personne, cela doit rester un secret entre toi et moi, sinon je risque d'aller en prison » Sa confidence me fit froid dans le dos : ma mère en prison, je ne pouvais imaginer une telle chose, maman, si douce, si dévouée pour moi, aller en prison pour une chose si forte et excitante ? Cela me paressait extravagant. « C'est la loi ! » conclut elle. Je me demandais bien ce que la loi venait faire dans les sentiments et je n'imaginais pas que la loi pu intervenir entre une mère et son fils. « Je ne le dirai à personne, ce sera notre secret ! » Ce disant, je me pendais à son cou que je serrai très fort. « Jamais je ne laisserai qui que se soit te faire du mal maman ! » Je ponctuais ma phrase de baisers fougueux sur sa joue. « Mon petit » dis elle doucement en caressant mon visage. Je me souviens encore aujourd'hui du sourire qui illuminait son visage à cet instant. * Etrange journée de ma vie, je renais pour avoir franchi le conduit vaginal maternel. Cela me laisse une impression étrange qu'il me faut digérer, j'ai peu de goût pour le jeu autant qu'à la rencontre entre amis. Je dois digérer ce phénomène qui me tombe sur les épaules que je sens frêles en l'occurrence. Ma mère m'observe de loin, inquiète, sans doute pleine de remord, elle fait semblant de s'intéresser à son travail mais le cœur n'y est pas. Une gène s'est installée entre nous, nous avons fait un ...
    ... pas de trop l'un vers l'autre, un pas qui est notre secret commun. Elle a préparé un goûter spécial comme seule une mère peut faire : elle a confectionné un gâteau, elle m'en coupe une part, je la mange avec plaisir et gourmandise pendant qu'elle me regarde. Elle veut me dire quelque chose c'est évident mais comment aborder son fils quand celui-ci est aussi son amant depuis la dernière nuit. « L'orage s'éloigne » dit elle. « Cela te rassure, tu n'auras pas peur cette nuit ». « Si » souffle-t-elle doucement, « j'ai peur tous les soirs ». Je ne dis rien, j'attends une suite qui doit nécessairement suivre. « J'ai peur toutes les nuits, l'orage était un prétexte, j'ai besoin de quelqu'un vois tu ? ». Je hoche lentement la tète, oui, je comprends qu'elle me parle de sa solitude, de mon père rarement présent, de sa vie de femme qui file au long des jours. « Je suis là ». Je viens de murmurer ces mots, c'est presque inaudible mais je l'ai dit. Maman me sourie : « As tu bien saisi ce que je viens de te dire ? ». Je hoche la tète affirmativement. « Si nous couchons ensemble, nous recommencerons comme la nuit dernière ». Je la regarde dans les yeux, « Ce sera notre secret ». Elle a un rire de dérision, « Crois tu que l'on puisse vivre avec un si lourd secret ? ». Je lui souris à mon tour, « Essayons ». J'ai dit cela avec un enthousiasme qui la fait franchement sourire. « Crois tu que les choses soient si simples ? », « A nous de ne pas les compliquer » lui ai-je répondu aussitôt, avec ...
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