1. L'orage


    Datte: 21/04/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    ... spontanéité. Elle baisse la tète et semble réfléchir, « C'est compliqué à vivre cette histoire » me dit-elle, soudain grave. « A nous de la vivre simplement » dis je, étonné encore par le sérieux de ma réplique, « Nous pouvons essayer ». Elle se redresse : « Et si cela ne marche pas ? pourrons nous faire marche arrière ? ». « Pourquoi veux tu que cela ne marche pas ? nous ne sommes pas étrangers quand même ! ». « Cela va changer beaucoup de choses entre nous ». « Que veux tu que ça change puisque de toute façon nous nous aimons ». Elle me regarde soudain surprise de ma dernière phrase. « Oui, nous nous aimons mais j'ai peur d'établir d'autres relations avec toi, des relations qui ne sont pas de simple relations mère-fils ». Je me lève alors et contourne la table pour la prendre par le cou, « Maman je t'aime de toute façon, peu importe la manière ». Je l'embrasse fougueusement sur la joue, elle me serre entre ses bras et nous restons là, enlacés l'un à l'autre, ni mère ni fils ni amants, deux êtres au monde. * C'est ma seconde nuit dans le lit de maman, je l'ai voulu encore plus fougueuse que la précédente qui m'avait prise au dépourvu. Je vais user de ma connaissance embryonnaire pour lui procurer encore plus de plaisir que la nuit d'avant. La nuit d'avant, la nuit où je renaissais des cendres de mon enfance. Maintenant j'avais goûté ce fruit hautement défendu, j'avais franchi ce fleuve que l'on ne franchi pas, j'étais sur la berge interdite, mais libre de mes mouvements, ...
    ... prêt à donner libre cours à cette perverse fantaisie qui allait me saisir. Ma main sur son corps a remonté la chemise de nuit soyeuse jusqu'à dénuder son pubis, ma main part en exploration entre ses cuisses avec la brutalité et l'impatience de mon inexpérience. La respiration de maman est désordonnée, je prends son trouble pour un encouragement et fourrage entre ses cuisses qui s'ouvrent presque sans résistance. Sa fente est chaude et humide comme la nuit précédente, mes doigts s'y promènent et caressent sans vergogne et sans attention particulière. Son souffle est précipité, elle ne dit rien mais son trouble grandissant est une invitation à poursuivre. Je suis dur dans mon pyjama, je défais la cordelette qui le retient à mes hanches et le glisse jusqu'à m'en défaire. Mon sexe brandit sa gloire au bas de mon ventre, j'enjambe maman et lui monte dessus. Sa peau est douce contre la mienne, nos ventres refont connaissance pendant que mes genoux forcent ses cuisses. Elle s'ouvre et je glisse entre ses jambes ouvertes. Nous sommes sexe contre sexe, je ne m'embarrasse pas de caresses, je pousse mon gland contre la fente. Ses lèvres s'ouvrent, presque sans résistance, je suis déjà profondément en elle et commence mes vas et viens. Mon sexe est dur à me faire mal tandis que je la besogne. Je la sens humide comme hier soir, ma bite plonge en son vagin en grandes secousses, écartant chair et sécrétion dans un clapotis obscène. Floc, floc, floc, au rythme de mes reins déchaînés le son que ...
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