1. De chaudes études - 5


    Datte: 21/04/2021, Catégories: fh, hplusag, jeunes, copains, profélève, laid(e)s, école, Oral

    ... passe mes jambes au-dessus de ses épaules, les écartant et exposant mon entrejambe largement ouvert. Il déploie son membre viril, si beau, si fier, et vient le promener contre mon ventre, puis le dépose doucement contre mon clitoris, qu’il frotte doucement, avant de descendre encore un peu plus bas et de pousser délicatement face à l’entrée de mon intimité, pour en ressortir aussitôt et recommencer. Je suis déjà toute à lui, quel besoin a-t-il de continuer ses efforts ? Mais alors que je m’apprête à le supplier une ultime fois, il prend appui sur ses bras et bascule sur moi, me pénétrant d’un unique coup qui me cloue totalement au lit. Je hurle de toutes mes forces, à pleins poumons, tandis que lui-même commence à me prendre comme un fauve en poussant de longs râles. Les genoux presque contre les épaules, je ne peux plus rien faire si ce n’est le laisser me faire l’amour, fougueusement, sauvagement, me pilonner les hanches de ses reins puissants, m’écarteler les jambes presque à me faire mal, distendre mes parois intimes et venir me heurter tout au fond de moi. Alors, je le laisse faire, je m’offre totalement à ce guerrier viril qui vient planter en moi le drapeau de la conquête. Il remue de plus en plus fort en moi, il glisse sans la moindre peine tant il m’a excitée, et deux orgasmes me foudroient alors qu’il continue à pilonner encore et encore…« Mon Dieu, quelle endurance, par rapport à Shane qui était parti si vite l’autre jour ! Ou peut-être est-il plus long à ...
    ... venir parce qu’il s’est déjà souvent déchargé cette semaine… » Quoi qu’il en soit, ce n’est pas moi qui vais m’en plaindre, alors que pour la troisième fois je sens le feu se répandre de mon entrejambe vers mes reins, et partir comme une gerbe d’étincelle tout le long de ma moelle épinière, que mes cris à nouveau s’élèvent dans la chambre d’étudiant, provoquant la colère des voisins qui hurlent et demandent si on a pas bientôt fini… Et je crois que oui, on a bientôt fini, à en juger par le torse de taureau couvert de sueur qui se met à s’agiter de plus en plus au-dessus de moi, le souffle humide et chaud de Warren qui inonde ma gorge et ses coups de reins de plus en plus désordonnés ; soudain, je sens sa lance se dilater une ultime fois et succomber à des spasmes violents, tandis que de longs jets jaillissent au plus profond de mes reins, tout contre ma matrice, et me donnent l’impression qu’ils vont me transpercer et se répandre partout en moi… Warren rugit, comme un lion, et moi-même lâche un dernier cri alors qu’il s’abat, rompu, sur mon corps, nos sueurs et nos bouches se mêlant les unes aux autres. Épuisés, anéantis, nous restons là un long moment, tendrement enlacés, nos sueurs et nos corps entremêlés, avant de sombrer pour de bon dans un doux sommeil. —ooOoo— Quand enfin je m’éveille, le soleil inonde déjà la pièce malgré les volets baissés. Je m’étire en ronronnant doucement, alors que mon bel amant dort toujours à mes côtés ; qu’il est beau dans son sommeil ! Sommeil ...