De chaudes études - 5
Datte: 21/04/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
copains,
profélève,
laid(e)s,
école,
Oral
... yeux. Mais votre travail reste inadmissible et, euh… on ne peut en rester là, vous comprenez. Je me tourne légèrement, pour qu’il puisse voir la douce peau laiteuse de mon sein éclairée par la lumière du soleil. La sueur perle maintenant clairement sur son front, et sa respiration se fait pressante.« La vache, il va pas me faire une crise cardiaque dans les pattes ? Je sais que ma poitrine a de quoi faire tourner la tête de pas mal de mecs, mais ce serait bien la première fois que je tuerais quelqu’un avec mes seins… » Quoi qu’il en soit, il faut battre le fer tant qu’il est chaud, et là, mes agneaux, il est bouillant ! — Oui, je comprends… peut-être que l’on pourrait… trouver un arrangement ?— Un arrangement ? geint-il au bord de l’apoplexie.— Oui, Monsieur, vous pourriez reconsidérer votre notation et de mon côté, eh bien, je pourrais… je ne sais pas, à vous de me dire ce que vous désirez. Je ne sais pas ce qui me débecte le plus : faire la pute, ou avoir tant de facilités à faire la pute. Peut-être ai-je déjà passé trop de temps avec Helen ? Elle me dirait sûrement que c’est quelque chose que nous avons toutes en nous, mais je n’irais pas jusque-là. Sans être féministe enragée, j’ai encore un peu trop de self-estime pour croire un truc pareil. Même si ce que je m’apprête à faire va passablement réduire cette estime… — Ce que je désire ? J’ai peur de ne pas bien comprendre, dit-il d’une voix rauque, alors que son visage rouge suinte de sueur et que ses yeux prouvent qu’il a ...
... parfaitement compris.— Vous me semblez terriblement tendu, Monsieur, laissez-moi vous aider à vous relaxer. Allez, touchons donc le fond un bon coup. Je me lève et vais à pas lents derrière lui, puis passe mes doigts contre son cou. Beeerk… d’ordinaire, la sueur masculine a un effet terrible sur moi, mais là, c’est plutôt terriblement vomitif ! Outrepassant ma répulsion, je commence à masser les muscles de sa nuque et de ses épaules. Je ne mentais pas en disant qu’il était tendu, je sens tout son corps se relâcher alors que mes mains pétrissent ses chairs. Je dois dire que je suis plutôt douée pour les massages ; c’est pour mon petit ami d’Alabama que j’avais appris, à la base. Thompson commence à gémir doucement, et je comprends qu’il est temps de passer à la suite. Je tourne sa chaise de bureau pour me retrouver face à lui, et tombant à genoux, j’entreprends de déboucler sa ceinture et de libérer sa virilité. Euh… il en a une, au moins ? Mes doigts mettent quelques minutes à la trouver dans les plis de ses sous-vêtements. Et quand enfin je la tiens dans ma main, encore à moitié molle, eh ben, c’est pas folichon… Non, je suis méchante. Avec des étalons comme Warren ou Shane, je commence à prendre de mauvaises habitudes. Mon petit copain n’était pas membré comme un taureau, mais je l’aime et il m’a donné de délicieux orgasmes. Mais celui-là, je ne l’aime pas, et ça va pas être évident de se motiver avec ce petit serpent qui frétille dans ma main. Je plains celles qui en font ...