FANSTASME ASSOUVI...
Datte: 22/04/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Sur mon contrat de travail il était stipulé que je devais intervenir à chaque fois qu’un incident se présenter dans les bureaux. Cela aller de raccrocher des rideaux, de changer des piles dans les horloges, changement des ampoules, des tiroirs à graisser, des serrures à changer, de déplacer les bureaux ou armoires, etc.… Mais pour mon plus grand désarroi, chaque intervention chez certaines secrétaires, prenait un temps fou. Ses dames n’hésitant de m’accaparer plus ce qui le fallait. J’avais donc trouvé la solution. Celui de venir travailler quand elles n’étaient pas dans leurs bureaux. Donc le samedi matin. Ma liste de petits travaux dans une main, ma caisse d’outil dans l’autre, j’arpentais de long en large les couloirs sinistres de l’établissement. De matin là, une demi-douzaine avaient été programmé. Les deux premières interventions terminée je m’avançais jusqu’à la troisième. M’autorisant après celle-là de faire une halte café. C’était le bureau de la DRH. Il était mentionné sur ma liste d’intervention un changement d’ampoules à effectuer. J’ouvrais la porte et là surprise je me retrouvais nez à nez avec Bénédicte, assise derrière son ordinateur. Vingt-cinq ans. Ordinaire physiquement. À son expression, je sentais que je n’étais pas le bien venue. Son visage dans son entier avait rougi à vue d’œil. Comme il n’était pas question que je reporte l’intervention, je m’avançais jusqu’au bureau, et ça malgré sa présence. Pas un mot n’avait été encore prononcé. Un silence absolu. ...
... Mise à part un petit ronronnement qui n’échappa pas à mes oreilles. La source venait du côté de chez Bénédicte. Par pur réflexe je jetais un rapide coup d'œil sous la table. J’y décelais rapidement un fil électrique noir qui sortait de dessous de la jupe et courait jusqu’au plateau. Là même où se tenait un petit boitier de contrôle. Je reconnu tout de suite la télécommande d’un gadget sexuel. Se croyant sans doute tranquille en ce samedi matin, elle avait emmené son joujou avec elle. Avec l‘intention de se payer une bonne partie de plaisir. Mais ce qu’elle n’avait pas prévus, c’était mon intrusion. Je fis comme si je n’avais rien décelé, et lui dis : - Tu es au courant de l’ampoule que je dois changer ? - Oui… oui, la lampe à Jeannette. - Merci… fis-je en me dirigeant jusqu’à la lampe. Comme par enchantement le ronronnement avait cessé. Pendant le changement, elle n’avait pas cessé de me regarder. Allant jusqu’à me sourire à chaque fois que mon regard croisait le sien. Sortie du bureau, j’allais comme convenu prendre un café dans la cuisine. Je profitais de cette pose pour me ressasser de ce qui venait de ce déroulé. C’était à se tordre de rire. Mais après réflexion j’avais regretté de ne pas avoir profité de ce qui m’avait été offert. Une jeune fille que son joujou avait sans doute menait au point culminant de l’excitation. Tout m’avait été servi sur un plateau, mais je n’en avais rien fait. Et maintenant il était trop tard. D’ailleurs après cet incident j’étais un peu près ...