FANSTASME ASSOUVI...
Datte: 22/04/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... sûr qu’elle s’était empressée de tout rangé. À l’heure du déjeuner, je trouvais Bénédicte, attendant le bus. Je stoppais à sa hauteur et lui proposais de la déposer chez elle. Comme nous nous connaissions depuis belle lurette, elle se laissait entraîner. Elle me guida jusqu’à devant sa cage d’escalier. - Eh bien merci… me fit-elle en décrocha la ceinture de sécurité. - Dis ! Tu n’oublis pas quelque chose ? - Non ! Je ne sais pas ! Quoi ? - Tu ne m’invite pas à monter ? Elle se mit à rire. Un rire de bêbête. - Je n’ai pas osé. - Mais il faut oser, Bénédicte. Je suis toujours prenant pour prendre un verre avec une charmante jeune fille. - Arrête de dire des bêtises. Veux-tu ? Elle était consciente qu’elle n’était pas du genre à faire retourner des foules à son passage. Trois étages plus haut elle s’effaça devant sa porte pour me laisser pénétrer son nid. C’était un simple studio. Mais très bien aménagé. Elle m’invita à prendre place sur une chaise. - Je t’offre quoi ? - Qu’est-ce que tu as ? - Du vin. - Va pour du vin. Elle ouvrait un élément au-dessus de l’évier et y sortit deux verres. Qu’elle posa sur la table. - Tu avais du boulot en retard, l’interrogeais-je. Pour venir travailler un samedi matin. - Oui… oui… répondit-elle en emplissant les verres à moitié d’un rosé bien frappé, sortit du frigo. - Tu es arrivé à tout faire ? - Oui, des rapports en retard, et quelques coups de téléphone à passer. Rétorquait-elle, en vidant son verre cul-sec. - Il est vrai qu’en travaille ...
... mieux quand en est seul. - Je suis tout à fait d’accord avec toi. Approuva-t-elle en se servant un autre rosé. - C’est super chez toi. Tu vis seul ? - Pourquoi me demandes-tu cela ? - Comme ça. Pour faire la discussion. - Oui, je suis célibataire en ce moment. - Cela explique… - Vas au fond de tes pensés. Tu veux parler sans doute de ce que tu as vue dans le bureau. Fit-elle en se jetant le deuxième verre, toujours cul-sec. - Tant que tu prends ton pied avec… - À défaut d’autre chose… me coupait-elle, je suis du genre… comment dire : très coincée… Parler de sexe me fait peur. Je n’ai pas confiance. Alors je préfère ne pas m’aventurer sur ce terrain-là avec des hommes. Mais si tu insistes… Elle se leva d’un bloc, et s’avança jusqu’au fauteuil. S’arrêtant devant ce dernier, elle retroussa sa jupe. Ses yeux dans les miens, elle remonta sa jupe en se tortillant. Dessous, elle portait des bas en voile auto-fixant. Et une culotte, déjà humide et palpitante d’excitation. - Je suis pourtant une vicieuse, tu sais Alain… un vrai Vicieuse… tu ne peux même pas savoir à quel point… Elle eut alors un sourire cruel, en saisissant de ses deux pouces recourbés l’élastique de sa culotte. Elle tira lentement l’étoffe imprégné de mouille vers le bas de sa personne, dénudant centimètre après centimètre, le haut de son intégralité son intimité. Je sentais ma verge durcir. Le spectacle devenait d’une rare indécence. Elle m’adressa un clin d’œil malicieux, en me voyant, masser ma queue à travers ...