1. FANSTASME ASSOUVI...


    Datte: 22/04/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... l’étoffe de mon jean. Tout en me coulant un regard malicieux, elle se débarrasser de sa petite lingerie d’un coup de pied. - Ta présence chez moi, fait pleurer ma chatte à chaudes larmes, tu sais ? Depuis le temps qu’elle me réclame un homme. Je ne pouvais empêcher ma respiration de s’accélérer. Les yeux rivés sur l’incroyable forêt vierge, d’un noir de jais, qui s’épanouissait au bas de son ventre bombé. Elle portait la main à la hauteur de son ventre et fit disparaître deux de ses doigts dans sa toison humide. - Elle te plaît ? J’avais la vulve au point de mire. - Et comment qu’elle me plaît… Oui… il faudrait être difficile. Je fixais ses petites nymphes brunes et fripées où perlaient quelques gouttelettes blanches. - Pour moi, ça vaut tous les programmes de télévision du monde. Et pourquoi fais-tu cela ? - Parce ce que je suis prise de frénésie, je ne sais pourquoi. Je pense que le rosé n’est pas innocent sur mes faits et gestes. Je n’ai pas l’habitude de boire. - Et pourquoi boire, alors ? - Tiens donc ! Pour me donner du courage. Elle écarta les jambes. En mettant ses mains entre ses cuisses. Ses poils bruns étaient tout englués de mouille. Elle séparait ses nymphes. Avec ses pouces, elle tirait sur le petit capuchon de chair pour débusquer son clitoris. Soudain mon cœur se mit à battre comme celui d’un chasseur devant une belle prise. J’avalais ma salive avec difficulté. Une excitation irrésistible montait en moi. Mais le plus étonnant, c’était le clitoris. Il ...
    ... pointait à présent comme un dard, aussi gros que l’extrémité d’un petit doigt. Mon cœur cognait dans ma poitrine. - Tu sais quoi ? Dit-elle d’une petite voix qu’elle s’efforça de rendre aussi câline que possible. Tu sais ce qui me ferait plaisir ? Ce serait que tu me laisses entièrement faire. Que tu me laisses te guider jusqu’au bout, jusqu’à ma jouissance. Elle me fit me lever. Violemment, elle défit mon pantalon et sans attendre, écarta l'élastique de mon slip, pour permettre à ses doigts de me fouiller. - Elle est comme je les aime. Bien dur ! Je vais te chevaucher et bien me baiser avec ta queue. Enfin si tu es d’accords. - Et comment que je suis d’accords. Répondais-je en posant mon cul sur la chaise. Elle se plaça en califourchon au-dessus de moi. Dressée, les cuisses ouvertes. Passant sa main entre ses cuisses, elle me prit ma verge qu’elle dirigeait à l’entrée de son sexe. En fléchissant ses jambes elle descendit lentement sur ma tige jusqu’à ce que nos deux pubis n’en fasse qu’un. La sensation était affolante, soyeuse. Au jugé, j’envoyais mes mains sur sa poitrine. Après avoir déboutonné son chemisier et écartais son soutien-gorge, mes doigts se mirent à en triturer les mamelons avec une fébrilité presque violente. - Oh ! Oui, plus fort, n’aie pas peur… mes nichons adorent d‘être brutalisés… En appui sur les mollets et les mains, elle faisait remonter son sexe très haut. Dévoilant toute ma queue avant de l’engloutir jusqu’à la garde. Elle me branlait de haut en bas, de ...