Épisode V : L'Américaine
Datte: 22/04/2021,
Catégories:
ff,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
intermast,
Oral
69,
fdanus,
init,
... coucher. Satisfait et heureux, je n’attendais plus maintenant que cette mystérieuse Américaine. Sandra n’eut pas à convaincre Marianne. L’argument « ton loyer baisse encore », suffit. Andrea arriva avec deux jours de retard sur le programme prévu, ce qui permit à Sandra de lui trouver un lit convenable et même une vieille commode de bois. C’était là tout le mobilier de la chambre, à l’exception de l’immense garde-robe à portes coulissantes. Notre Américaine et Sandra arrivèrent en fin d’un après-midi du mois de juin. Et cette Américaine, j’eus tout de suite envie d’elle. (Évidemment, avec mes semaines comblées, je développais un désir sexuel plus grand) Andrea était assez grande, mince et toute pimpante de santé, ses muscles souples jouant sous sa peau blanche, un peu hâlée. Elle était rousse, elle aussi. Mais d’un roux plus flamboyant, plus lumineux que Sandra qui avait les cheveux foncés. Elle avait de beaux yeux noisette, pétillants de curiosité, un beau visage aux traits simples et une jolie bouche, aux lèvres minces et roses. Son corps de danseuse accomplie était tout simplement ahurissant. Une poitrine assez développée, bien que plus petite que les beaux seins de Marianne. Un ventre plat, ferme, découvert par son t-shirt, de belles hanches, fines et toujours se balançant langoureusement. Des jambes fermes, musclées par la gymnastique, souples et longues. Elle portait un short bleu très court dévoilant ses cuisses magnifiquement nues. Sandra, amusée, me regarda la ...
... détailler lentement. Andrea, confiante de l’effet qu’elle faisait, eut l’air contente de ma contenance et de mon assurance. C’était une belle femme, certes, mais j’étais un bel homme et j’avais baisé mes deux colocs – dont une qu’Andrea elle-même aurait bien voulu se faire. Toutefois, mon sexe se tendit quelque peu, à la vue de ses fesses merveilleuses, qu’elle me dévoila en descendant l’escalier. Un cul bandant à souhait, que je voyais ferme, bien rond. Quand elle vit sa chambre, elle fut très heureuse. Juste ce qu’il lui fallait. En voyant l’espace dégagé, qui s’offrait à elle, elle s’écria : — Oh God ! I’m dreaming ! Je ne compris pas ce qui la faisait tant rêver dans ce grand espace vide tout de suite. Pendant la journée, Andrea et Sandra partirent en ville. Quand elles revinrent, c’était pour installer alors de grands miroirs sur les portes de la garde-robe, miroirs achetés pas chers dans un magasin de meubles usagés. Andrea sautait de joie, répétait ses pas de danses, lascivement ou avec une grande énergie. Le soir venu, ce fut toute une fête. Nous étions tous là et tandis que je faisais à manger pour nous quatre, les filles discutaient en sirotant une bière. Les sujets furent très variés. Le coin natal d’Andrea, ses études – qui l’avait amenée en France, d’où son très bon français – la politique. (Je jouissais presque, rien que d’entendre une Américaine tempêter contre Bush et son gouvernement) Puis, évidemment, tout ça s’en alla vers le sexe. Elle parla très ouvertement de ...