De Papillon De Nuit à soumise (13)
Datte: 23/04/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
En regardant l’heure, je me rendis compte que j’avais été enfermée toute la nuit et une bonne partie de la journée. Fort heureusement, mes maux de ventre s’estompaient peu à peu, me permettant de manger à un rythme léger, et je finis par m’allonger sur le lit où le sommeil me gagna instantanément. Je fus réveillée le lendemain matin par ma Maîtresse qui ouvrait la porte de ma chambre ; elle était habillée, comme d’habitude, d’un ensemble tailleur chic gris foncé. Je l’accueillis dans ma position habituelle, mon corps étant toujours douloureux à cause les coups reçus la veille. — Aujourd’hui, ma chienne, on va faire les magasins au centre commercial : je veux te faire toute belle pour cet après-midi. J’aurai des invités, et naturellement je ne te dirai pas ce que j’attends de toi, n’est-ce pas ? — Je sais ce que vous attendez de moi, Maîtresse Chloé, et je ferai mon maximum pour être une bonne chienne. — On part dans une heure. Je serai dans la voiture, et tu sais que je n’aime pas attendre! me dit-elle en sortant de la chambre. Je me dépêchai de prendre une petite douche, de m’habiller d’un jean, d’un tee-shirt et de baskets, n’ayant reçu aucune consigne vestimentaire. Il me restait un peu de temps pour avaler un petit déjeuner que je pris avec un grand plaisir. Je rejoignis ma Maîtresse à la voiture dans les délais impartis et nous prîmes la route du centre commercial. Le voyage se passa dans le silence le plus total ; je n’osais pas ouvrir la bouche, ne voulant pas que ça ...
... se retourne contre moi. Une fois arrivées, ne sachant pas de quelle manière je devais m’habiller, nous regardions les vitrines de chaque magasin lorsque tout à coup je reçus un choc terrible qui me fit perdre l’équilibre ; il avait provoqué par une personne visiblement pressée. La douleur des coups reçus la veille augmenta celle de ma chute et, grimaçante, je me relevai aidée par ma Maîtresse. — Tout va bien ? me demanda-t-elle. — Oui, ça va aller, dis-je en scrutant autour de moi pour voir qui aurait pu me bousculer aussi violemment. — Je n’ai pas vu qui a fait ça, mais ça n’a plus aucune importance maintenant. On va aller dans ce magasin ; je connais la patronne et elle me fera sûrement un prix. Viens ! — Je vous suis, lui dis-je en grimaçant et en scrutant autour de moi. Je revis d’ailleurs brièvement la scène dans ma tête, et j’ai cru sentir qu’on m’avait déposé une carte dans l’une des poches arrière de mon jean. Je vérifiai discrètement et me rendis compte qu’en effet on m’avait bel et bien déposé un petit morceau de carton. En temps normal, les pick-pockets font l’inverse, à savoir bousculer leur victime tout en les détroussant pour faire passer leur geste pour une banale bousculade et prendre rapidement de la poudre d’escampette ; mais pas cette fois. Je décidai d’aller voir ma Maîtresse afin de me renseigner sur le type de vêtements dont j’aurai besoin. — Excusez-moi, mais quelle genre de tenue il me faut, Maîtresse Chloé ? lui chuchotai-je. — Prends une robe chinoise ...