1. De Papillon De Nuit à soumise (13)


    Datte: 23/04/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... là-bas ; essaie-la dans une cabine, et tu m’appelles quand tu es prête, me dit-elle en me désignant le présentoir où les modèles étaient posés. — Oui, Maîtresse Chloé, lui chuchotai-je de nouveau. Je me dirigeai rapidement vers les robes, en pris une au hasard après avoir vérifié que c’était bien ma taille, et fonçai dans une cabine libre dont je fermai immédiatement le rideau. Après m’être assurée que je n’étais visible de personne, je sortis le carton et j’eus un choc qui me paralysa de la tête aux pieds en lisant son simple contenu : "RETROUVE-MOI AUX TOILETTES PUBLIQUES À CÔTÉ DU MAGASIN « X ». L.S." Ma main se plaqua contre ma bouche et mes yeux s’écarquillèrent. Je n’en croyais pas mes yeux ; ça ne pouvait être qu’une erreur, c’était impensable ! "L.S." ? Était-ce "ELLE" ? Et le magasin « X » ? C’est celui dans lequel nous sommes en ce moment. Je cachai la carte dans une poche arrière du jean, sortis de la cabine, et d’un pas rapide me dirigeai vers ma Maîtresse. Mon cœur battait à tout rompre dans ma poitrine ; je ne croyais pas ce que je venais de lire. — Maîtresse Chloé, lui chuchotai-je de nouveau, puis-je... — T’es pas encore habillée ? Qu’est-ce que tu fous ? — Je ne me sens pas très bien. Puis-je aller aux toilettes à côté du magasin, s’il vous plaît ? — Qu’y a-t-il ? T’es toute pâle. — S’il vous plaît, Maîtresse... insistai-je, bien décidée à connaître le fin mot de cette histoire. — Excusez-moi, Mademoiselle...dit-elle en interpellant une vendeuse. Une ...
    ... vendeuse assez jeune, rousse et très mignonne s’avança vers Chloé. — Oui Madame ? — Excusez-moi ; est-ce que cette jeune fille peut utiliser vos toilettes, s’il vous plaît ? — Je regrette, Madame, mais elles sont réservées au personnel. En revanche, vous avez des toilettes publiques juste à côté de ce magasin. — Merci, Mademoiselle, dit-elle, visiblement déçue. Je poussai un discret soupir de soulagement, et la vendeuse s’éloigna. arnappxu — Bon, très bien, vas-y. Mais comme d’habitude, je reste à l’entrée du couloir : comme ça, en cas de pépin, tu n’as qu’à m’appeler, — Merci, Maîtresse Chloé. Nous sortîmes du magasin et empruntâmes le court chemin qui nous séparait des toilettes. Choé, comme convenu, resta à l’entrée du couloir. Moi, après avoir traversé le court couloir, je poussai la lourde porte et constatai qu’étrangement, les toilettes des filles étaient vides. Penchée au-dessus du lavabo, je commençais à me rafraîchir le visage avec l’eau d’un robinet, pensant qu’il devait s’agir d’une mauvaise blague, lorsqu’une douce voix familière se fit entendre derrière moi : — Ravie de te revoir, "Papillon de nuit". Tu as bien eu mon message, on dirait. Le visage trempé, toujours penchée au-dessus du lavabo, j’écarquillai les yeux en restant figée sur place. « Ève » ? pensai-je. Je fis lentement volte-face, et je sentis mon cœur faire un bond dans ma poitrine, comme s’il avait été libéré de tous mes maux en la voyant. Elle se trouvait devant moi, brune, cheveux mi-longs et fins, ...