Les mémoires de Jonathan (3)
Datte: 24/04/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... Merveilleux, ce n’est pas un homme qui se tient derrière cette cloison mais une femme... Nue ? Je ne sais pas pourquoi, ou plutôt si, mais mes yeux se refusent à regarder ailleurs. Je ne devrais pas violer l’intimité de cette demoiselle mais c’est plus fort que moi. Mon corps refuse de m’obéir. Je veux retirer mon visage mais impossible. La lutte est vaine. En fait, le veux-je vraiment ? L’image qui s’offre à moi est tellement sublime que le temps semble s’arrêter. Une silhouette longiligne à la peau bronzée, de longues jambes interminables, de belles petites fesses rebondies, une chute de rein à couper le souffle et de longs cheveux blonds qui descendent en cascade jusqu’au bas du dos, m’apparaissent tel une oasis... Ce que cette femme est magnifique ! Je sens soudainement quelque chose au niveau de mon bas ventre. Je regarde ce que c’est... C’est ma main. Je ne me suis guère rendu compte que je me masturbais à la vue de cette naïade. J’arrête illico ma veuve poignet. Dois-je poursuivre mon voyeurisme ? Pourtant, ce n’est pas dans mes habitudes, moi qui suis pour le droit à la vie privée, aux moments d’intimité personnelle, voilà que je suis sur le point d’enfreindre l’un de mes principes. Ma tête s’avance d’elle-même. Il est vrai que depuis la mort de ma femme, je n’ai plus revu une femme à poils, ou plutôt sans pilosité comme je puis constater face à l’objet de mon désir du moment. Objet, je n’aime pas ce terme, je le trouve dégradant face à la gent féminine mais dans ...
... l’action de l’excitation, on dit souvent des bêtises qui dépassent nos pensées. Toujours est-il que cette belle blonde s’est retournée, affichant désormais son côté face. Je regarde ses orteils, magnifiques vernis d’un rose bonbon pâle. Ce qu’ils sont à croquer. Je ne suis pas un fétichiste des pieds mais ceux-ci, je ne sais pourquoi, mais j’ai l’irrésistible envie de les porter à ma bouche. Je remonte la piste de ses longues jambes et pose mon regard sur la piste d’atterrissage. Son mont de vénus. Deux petites lèvres fines qui cachent un grand secret, le lieu des mystères. Son petit bourgeon est identique au reste, il est petit et enveloppé bien au chaud dans son cocon, recouvert de son capuchon tout mignon. Je réussis à extraire mon regard de cet endroit tentateur et poursuis vers le sommet, tel un alpiniste. Son ventre plat, où apparaissent des abdos, démontre que cette femme entretient bien son corps. Son joli nombril est appétissant, ce serait un crime de ne pas le combler de doux baisers. Mes yeux se posent à présent sur ses seins. Ni trop petits, ni trop gros. Ils semblent tenir parfaitement en place, sans tomber. Ses aréoles ne sont pas larges, et possèdent une teinte rosée pâle, comme ses mamelons. Ces derniers sont petits, ils donnent l’envie d’y déposer la bouche afin de les cajoler, de leur donner de l’amour. Je remonte mon regard vers son cou, gracile, d’où deux mèches flottent de chaque côté de ses menus épaules. Belle, oui cette femme est très belle. Elle me ...