Les mémoires de Jonathan (3)
Datte: 24/04/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... rappelle ma femme. Svelte, magnifique de partout, entretenant son corps par le sport et les salons de soins féminins, et jouant de sa sensualité même dans l’intimité. Je relève encore les yeux... Oh ! C’est tout ce que je pu émettre. L’ai-je dit tout haut ? Je ne crois pas. Tout de même, cette femme enfile son maillot non sans prendre son temps. Cette femme, c’est Lily-Rose, ma cousine. J’ai fantasmé sur ma cousine, rêvant de lui faire des choses. Je retire mon visage de cette anfractuosité. Je n’aurais jamais dû regarder par cette cavité. Je ne pourrai plus regarder ma cousine en face... Ou plutôt de la même manière. Bon ce qui est fait, est fait. Je ne puis revenir en arrière ni oublier ce que j’ai vu. En même temps, pour être honnête avec moi-même, je dois admettre que je ne souhaite en rien oublier ce que j’ai vu. Bref, passons. Il est temps de sortir de cette cabine. Je vais pour sortir lorsque je m’aperçois d’un détail. Et pas des plus anodins. Dans mon voyeurisme, j’ai continué à me procurer du plaisir en retirant mon short. Je suis donc nu et le membre aussi droit et rigide que peut l’être une piqûre la loi. Il faut que je me calme et que la pression redescende. Je sors de cette cabine dix minutes plus tard. Lily-Rose m’attend sur la plage, étendue sur sa serviette. En me dirigeant vers sa position, deux jeunes hommes sont déjà devant elle et discutent. Je la laisse un peu avec eux, croyant que c’est deux copains à elle. Je remarque ensuite qu’elle est mal à l’aise. ...
... Il y a sans doute un problème. Je décide de m’avancer et signale mon arrivée. Ma cousine se lève et vient à ma rencontre avant de me rouler une pelle qui me laisse pantois. Les deux hommes partent sans demander leur reste. Notre baiser dure longtemps. Combien exactement ? Je ne saurais le dire. Au début, c’est elle qui m’embrassa fougueusement mais je finis tout de même par participer, jouant de la langue à sa réponse linguale. Sa bouche, ses lèvres douces comme le velouté d’une crème onctueuse. Sa langue, que je suçote, est d’une telle douceur. La coquine me rend ma politesse. Sa bouche, elle a un petit goût subtil du fruit de la passion. Tout en elle est aphrodisiaque, fait pour allumer un feu, plutôt que de l’éteindre. Même ses gestes sont précis et coordonnés, faisant ressentir leur effet. Mon érection reprit de plus belle et ma cousine ne peut pas ne pas la sentir. À l’évocation de cette pensée, Lily-Rose me confirme mon raisonnement en appuyant plus encore son bas ventre contre ma proéminence. Soudain, j’ai un éclair de lucidité et me rappelle que je suis en train d’embrasser ma cousine d’une façon non conventionnelle. Nos bouches se dessoudent et je m’éloigne d’un pas. Je remarque que ça nous prend un moment à tous les deux pour revenir sur terre. Ce baiser était torride, brulant, passionnant, empli d’un je ne sais quoi de magique. Je questionne Lily-Rose du regard, demandant une explication. — Eh... Eh bien c’est que voix-tu. Ça fait dix minutes que je me fais harceler ...