Il faut sauter le pas
Datte: 24/04/2021,
Catégories:
f,
fh,
hplusag,
hagé,
poilu(e)s,
complexe,
vacances,
campagne,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
miroir,
BDSM / Fétichisme
Masturbation
intermast,
Oral
69,
préservati,
pénétratio,
hdanus,
init,
prememois,
initfh,
Résumé : Dans l’épisode précédent ("Pas de porte") nous avons vu Charlotte, qui s’estimait affublée d’un physique peu avantageux, découvrir la jouissance avec un vieil ami de trente-cinq ans de plus qu’elle. J’ai revu Xavier tout l’été. Je crois que personne ne s’est jamais aperçu de rien. Après déjeuner, à l’heure de la sieste, je faisais un tour à la Soulane. J’accompagnais souvent le frérot au terrain de jeux derrière la mairie, puis je m’esbignais discrètement. Le frérot ne cherchait pas à comprendre. Bien trop heureux. Je lui laissais la paix, et il pouvait aller s’éclater avec ses copains. Alors, je prenais en douce le chemin de la terrasse de Xavier. Arrivé devant la porte, je grattais doucement et je poussais l’huis dans la pénombre. À l’étage, je trouvais mon amant, qui m’attendait sereinement. Il était mon amant. Pas un copain. Certainement un ami. Mais surtout mon amant. La première fois qu’il m’avait fait connaître la jouissance, il l’avait fait juste pour moi. Je ne m’en étais pas rendu compte, anéantie comme je l’étais. Lui n’avait pas pris son plaisir. Il m’a dit par la suite que son plaisir avait été de me voir jouir. Il m’a également avoué qu’il n’avait pas voulu « aller plus loin », parce que cette aventure avait été tellement inattendue qu’il n’avait rien à sa disposition pour nous protéger. Je me souviens que lorsque j’ai repris mes esprits, il m’a bercée de baisers sur tout le corps, depuis la plante des pieds jusqu’au front, humant encore les effluves ...
... corsés qui s’échappaient de mon buisson ardent, me faisant me tourner pour savourer la texture de mes fesses, ou encore soulever le bras pour longer la plage de peau fine qui s’étend du sein à la floraison de l’aisselle. Il a butiné sous mon bras. Il est remonté le long de mon cou. Il m’a mordillé les oreilles. Il m’entourait de sa tendresse et je fondais contre son torse velu, m’emplissant de son odeur d’homme légèrement musquée. L’angélus a sonné. Il fallait que je m’en retourne, sinon la mère allait se demander ce que je devenais. Quand il a compris qu’il fallait que je le quitte, il m’a doucement rhabillée. La culotte, le soutien-gorge. Il s’est amusé à installer chacun de mes nichons dans son bonnet. J’ai fini par enfiler jean et T-shirt. Un baiser passionné. Nos bouches entremêlées. Et je me suis sauvée. Jusqu’à ma chambre où je me suis réfugiée pour savourer mon secret. Le plaisir. La jouissance. Ce mystère qui m’ouvrait ses portes et qui m’avait saisie par surprise. Auquel je ne comprenais encore rien. Je n’étais consciente que d’une chose, c’est que totalement ignorante des plaisirs de la chair le matin même, Xavier avait déclenché un ouragan dans mon corps. J’étais submergée par la vague qui m’avait emportée, et le seul désir qui me hantait désormais, c’était de revivre, par tous les moyens, la débauche des sens qu’il m’avait fait connaître. De naïve, je tournais à la dépravée. Quelle conversion ! Alors j’ai exploré. La première chose que j’ai faite, quand je suis ...