Il faut sauter le pas
Datte: 24/04/2021,
Catégories:
f,
fh,
hplusag,
hagé,
poilu(e)s,
complexe,
vacances,
campagne,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
miroir,
BDSM / Fétichisme
Masturbation
intermast,
Oral
69,
préservati,
pénétratio,
hdanus,
init,
prememois,
initfh,
... j’ai acheté une boîte de capotes au supermarché. Mais pas que ça. Quand je suis revenue l’après-midi chez Xavier, je lui ai dit : – Aujourd’hui, je veux être ta femme ! Il a bien compris ce que je voulais. Je l’ai vu très circonspect. – Tu es sûre ? – Certaine ! – Et si tu regrettais de ne pas faire ce cadeau à celui que tu choisiras plus tard ? – C’est avec toi que je veux le faire ! – Et si ton futur amoureux te le reproche ? Je me suis emportée, et c’est presque avec violence que je lui ai répondu : – S’il me reproche ça, il ne sera pas mon futur amoureux. Il ne va pas m’aimer pour mon pucelage ! Et j’ai ajouté, péremptoire, en me pendant à son cou, vrillant mon regard dans le sien : – Je veux vraiment baiser avec toi ! Baiser ! Quel mot ! Si je l’avais déjà lu, ou entendu dans des conversations autour de moi, je ne l’avais jamais utilisé. Et pour cause. Mais là, je n’étais que provocation. Je me suis à nouveau serrée contre lui, et cela me faisait encore une fois chaud au corps. J’étais insatiable. Je me frottais contre lui, je lui faisais sentir toutes mes rondeurs, pour qu’il ait envie, pour le faire bander, pour qu’il me prenne ! Et visiblement, ça marchait ! Nous étions à nouveau dans la chambre de mes premières émotions. Je voulais prendre les choses en main. Je lui ai demandé de s’asseoir sur le lit et de me regarder. Il s’est laissé faire ! Je menais la partie. Comme au tennis de Maminou. Quinze, zéro. Et doucement, en le fixant droit dans les yeux, j’ai ...
... commencé à me déshabiller. J’ai vu sur son visage la couleur du désir. Son regard m’enveloppait d’une intensité gourmande qui me faisait littéralement fondre, rien qu’à penser à ce qui m’était destiné. Et rien que pour ce regard, j’étais décidée à me dépasser dans la provocation. Je m’étais vêtue comme d’habitude. Il ne fallait pas que j’alerte mon entourage. Dans le style : «Mais, où vas-tu donc comme ça, déguisée en princesse de journal pipol ? ». Mais ce dont il ne se doutait pas, c’est que ce matin, je m’étais acheté une parure dans le seul magasin de lingerie de Châteauneuf. Rien de bien luxueux. Mes économies ne me permettaient pas mieux. Mais simplement autre chose que mon coton blanc habituel. J’avais fait fort : un soutien-gorge à balconnets et surtout un string arachnéen. Et je savais que, pour le string, avec la forêt tropicale qui recouvrait mon bas-ventre, ça déborderait de partout. Et justement, c’était bien l’effet que je recherchais. Xavier m’avait confié à quel point ma fourrure l’excitait. Eh bien, le comble de l’hypocrisie, c’était de feindre de dissimuler ce que je ne pouvais certainement pas cacher avec le petit rien du tout que je m’étais procuré. Quant au soutif, il propulsait mes lolos vers les sommets, comme un plat de fraises qu’on donne à lécher ! Je m’étonnais moi-même. Il y a quinze jours, l’idée ne m’aurait même pas effleurée. Donc je commence par lui jeter un regard que je veux « ravageur ». Xavier ne moufte pas, amusé. J’ai encore marqué mon point. ...