1. Il faut sauter le pas


    Datte: 24/04/2021, Catégories: f, fh, hplusag, hagé, poilu(e)s, complexe, vacances, campagne, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, BDSM / Fétichisme Masturbation intermast, Oral 69, préservati, pénétratio, hdanus, init, prememois, initfh,

    ... Oh, oui ! Continue. Jouis ! Je t’en prie ! Vide-toi dans mon ventre ! Prends ton pied ! Il accélère. Ma brûlure se réveille. Maintenant c’est tout pour lui. Il est un coureur de fond. Il rentre et il sort. Il halète. Il gémit. Ça me cuit. Je sens qu’il grossit, à l’intérieur. Il pousse de plus en plus fort. Tout d’un coup, je le sens qui se bloque au fond. Je perçois des secousses qui animent sa bite. Il vide brusquement ses poumons dans un grand « ah ! ». Et d’un coup, tous ses muscles se détendent. Il s’anéantit, comme je m’étais anéantie il y a deux jours. Son visage se détend. Il a un grand sourire. Je m’abats sur lui, j’entoure son cou de mes bras. Je me fonds dans son regard. Je l’embrasse tout partout. Nous nous immobilisons tous les deux. En bas de moi, je sens que sa bite se dégonfle. Qu’elle sort de moi. Qu’elle se rétrécit. Alors il me pousse doucement de côté, met la main sur son sexe. Posément, il retire la capote, et fait un nœud. Je vois le petit ballon plein d’une liqueur blanche. Nous nous allongeons calmement l’un à côté de l’autre, et je le regarde amoureusement. Il est beau. Je craque totalement. J’oublie le reste. Je me love dans ses bras. Je suis son hétaïre ! – Tu vois, maintenant je suis ta petite femme ! que je lui souffle à l’oreille. Il n’y en aura jamais qu’un qui m’aura fait ça… et c’est toi. Il s’est tourné vers moi, et pour la première fois, il m’a couverte. Il était sur moi, et je sentais son poids sur ma poitrine. Ses jambes s’étaient ...
    ... insérées entre les miennes. Alors je m’étais ouverte. Sa bite flaccide reposait dans ma fourche et cette sensation de faiblesse après la force me gonflait le cœur. Il était appuyé sur ses coudes de part et d’autre de mon torse et nos bouches se sont accrochées. Pour la première fois également, je l’ai serré nu dans mes bras nus sur ma poitrine nue. Sa chaleur m’emplissait. Lentement, j’ai fait glisser mes mains dans son dos, jusqu’à ce qu’elles prennent possession de ses fesses. Rondes. Dures. Musclées. D’adorables fesses ! Cet après-midi-là, je suis devenue une fan de ses fesses ! Et c’est toujours une partie du physique de mes amants qui me fait chavirer ! Je les caressai pour la première fois avec passion jusqu’à m’aventurer dans sa raie, à explorer ce réduit inconnu, à percevoir du bout de mes doigts ces textures nouvelles, ces poils qui tapissaient sa raie et m’étaient étrangers, ce frippement de peau autour de son soleil noir. Percevoir également son plaisir lorsque je l’ai caressé, là… Comprendre combien cette partie de lui était sensible, combien elle participait de son plaisir, lorsqu’il me regardait de ses yeux en naufrage. Combien nous étions devenus intimes, combien nous avions franchi un à un tous les obstacles de la pudeur… Voir mon chéri défaillir, se pâmer de cette façon parce que je lui avais simplement caressé la rondelle de son trou du cul m’a donné de l’audace. J’ai insisté. Pendant que de la main gauche j’écartais sa fesse, j’ai pressé des doigts de ma main ...
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