Il faut sauter le pas
Datte: 24/04/2021,
Catégories:
f,
fh,
hplusag,
hagé,
poilu(e)s,
complexe,
vacances,
campagne,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
miroir,
BDSM / Fétichisme
Masturbation
intermast,
Oral
69,
préservati,
pénétratio,
hdanus,
init,
prememois,
initfh,
... droite sur son anneau… Et je sentais que plus j’appuyais, plus mes doigts trouvaient le passage… Et je voyais que plus je le pressais en son fondement, plus mon chéri devenait vulnérable, plus il se perdait dans mes yeux en gémissant, plus il me rejoignait dans ce qui devenait notre égalité dans l’abandon charnel. Je ne sais si je m’élevais vers lui ou s’il venait à moi, mais le sentiment de ce déséquilibre, de cette relation initiale de maître à élève s’estompait, et c’est moi qui prenais l’ascendant, qui le faisais vibrer, qui lui donnais un plaisir inavouable, un plaisir honteux, un plaisir indicible, sans peur de jugement, qui affirmait notre complicité lubrique dans la recherche de notre plaisir quel qu’en fût le coût… Je voulais parvenir à mes fins, et je n’y arrivais pas ! La muqueuse était trop sèche. Mon amour gémissait de plaisir, et je voulais qu’il gémisse encore davantage, mais je ne pouvais aller au-delà du point où j’étais parvenue. Une idée m’a traversé la tête. J’ai abandonné son cul un instant, j’ai recueilli les restes de ma jouissance à l’orée de mon con détrempé, dont j’ai enduit copieusement mes phalanges, en en profitant au passage pour flatter la queue pendante de mon amoureux. Puis je suis revenue au cœur de ses fesses ; j’ai recommencé l’onction, et là, après quelques instants d’hésitation, j’ai vivement enfoncé index et majeur au cœur de son anus. Xavier a eu comme un hoquet. J’ai fourgonné dans le conduit, caressant la muqueuse comme une furie, ...
... guettant chaque signe de l’extase naissante sur le visage de mon homme. Je le possédais. Je le tenais accroché au bout de mon bras. Je voyais que chaque pression de la pulpe de mes doigts sur le plus intime de son intérieur le faisait ahaner, soupirer, clore les yeux, sursauter… Soudain, nouvelle perception… Sa trique a commencé à croître sur mon pubis… J’ai senti la bite se dilater… Se loger au cœur de mon corail… Appuyer sur ma perle sensible. Je me suis dit que nous allions jouir une nouvelle fois ensemble et j’ai propulsé mon pubis vers sa grosseur. Cette pensée m’a déchaînée. J’ai enfoncé mes deux doigts jusqu’à la jointure, jusqu’à ce que je sente la rondelle s’enfoncer tout autour. Je lui branlais le cul comme une malade ! Sa bite s’est encore tendue, et il se frottait contre mon plus intime, la grosseur de son gland soulevant ma perle à chaque mouvement, me procurant un nouvel éblouissement à chaque élan. Maintenant il ahanait de plus en plus… Il gémissait, tendait le col. Comme je regardais mon ventre, je voyais à coups redoublés son gland se profiler entre nous deux dans ma fourrure puis se reculer, au moment où je ressentais un grand éclair au bas de mon ventre ! Je l’avais fermement agrippé par le cul ! L’impression de noyade que je connaissais bien maintenant se reproduisait, ma respiration se hachait, se suspendait au rythme du bouillonnement du chaudron infernal que j’avais au bas du ventre ! J’allais à nouveau exploser, expulser cette barre qui me prenait la ...