1. Il faut sauter le pas


    Datte: 24/04/2021, Catégories: f, fh, hplusag, hagé, poilu(e)s, complexe, vacances, campagne, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, BDSM / Fétichisme Masturbation intermast, Oral 69, préservati, pénétratio, hdanus, init, prememois, initfh,

    ... Trente, zéro. J’ai posé mes lunettes sur la table de nuit, et j’ai commencé par balancer mon T-shirt. En le relevant sous ma poitrine, ça a mécaniquement fait remonter mes nichons. Et quand il est passé au-dessus de ma tête, la pesanteur a fait son office. Mes deux doudounes sont retombées souplement, avec mes bouts qui se sont projetés en avant, en saillant des balconnets, qui ne dissimulaient plus rien de mes aréoles. Regard style zombie du Xavier en début de pâmoison. Quarante, zéro. Mon jean maintenant. Toujours les yeux dans les yeux. Enfin, les miens dans les siens, parce que, de son côté, il focalisait plus bas sur mes « avantages sociaux ». Je commence par enfoncer mes poings dans mes poches. Je sens au fond les capotes que j’ai emportées. J’ai étudié l’effet chez moi devant le miroir de ma chambre pendant l’heure du déjeuner. La ceinture du jean s’abaisse et vient se bloquer sur l’arrondi de mes hanches. Et les cordons du string jaillissent à l’air libre. Demi-tour. Je cambre mes reins dans sa direction. Mon popotin fait encore plus saillie, si c’est possible. Xavier peut maintenant contempler le petit nœud arrière d’où s’évade le cordon qui passe dans ma raie. Je jette un coup d’œil par-dessus mon épaule. C’était prévu. Il est scotché par ma chute de reins. Avantage Charlotte. Re-demi-tour. Un pas en avant. Mon ventre est sous son nez. Sous le nombril, la légère ligne sombre verticale de ma pilosité qui joue les panneaux indicateurs : «Suivez la flèche ». Mes mains ...
    ... se rejoignent sur le premier bouton. J’ouvre. J’écarte les coins du tissu. Il aperçoit la broderie du string, sous le triangle de légers poils noirs dirigé pointe vers le haut, qui s’épaissit au fur et à mesure que le regard s’abaisse. Deuxième bouton. L’ouverture s’agrandit. Le voile du string se révèle. Le coussin de fourrure transparaît et accentue l’arrondi du Mont de Vénus. Troisième bouton. Le dernier. Je me retourne à nouveau, il a mes fesses sous le nez, maintenant. Petite séquence gymnique. Le grand dévoilage. Je me saisis des côtés de mon jean, et je descends alternativement la gauche et la droite. Trois centimètres à chaque reprise. Lever de lune ! Fesse gauche… Fesse droite… Fesse gauche… Raie ! Jeu Charlotte ! Et Charlotte au service ! Comme je me penchai vers l’avant pour me déculotter, mon postérieur se propulsa vers l’arrière pour maintenir mon équilibre. Xavier se retrouva le nez dans ma raie. Ce qui n’était fait pour déplaire ni à l’un, ni à l’autre, c’est-à-dire moi. Qui avais d’ailleurs tout fait pour en arriver là. Et en descendant lentement mon futal, je commençai à embaumer la pièce de mon parfum de femme qui s’exhalait de la résurgence qui commençait à sourdre de ma boîte à plaisirs. Lorsque la ceinture du jean se cala à la jointure de mes genoux, j’étais pliée en deux, et mon cul jaillissait, avec la corde du string qui, je le savais, s’enfonçait entre mes deux fesses, ligne blanche qui se noyait dans la luxuriance de ma fourrure noire remontant de ma ...
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