1. Il faut sauter le pas


    Datte: 24/04/2021, Catégories: f, fh, hplusag, hagé, poilu(e)s, complexe, vacances, campagne, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, BDSM / Fétichisme Masturbation intermast, Oral 69, préservati, pénétratio, hdanus, init, prememois, initfh,

    ... entrelaçons nos doigts et je pousse mes bras en avant sur le drap. Les siens font comme un V de part et d’autre de son visage. Et moi je me vautre sur son torse dénudé, en frottant mes bouts contre son pelage tout blanc. Je me redresse. Je me recule et commence à ôter son pantalon. Je m’arrête un instant avant de continuer avec son slip. J’ai retenu la leçon. Je bloque sa « queue » et tire sur la ceinture. Je me sors du lit, et finis de tout enlever. Maintenant ça y est ! Il est comme un enfant qui vient de naître. Un vieux bébé ! Un vieux bébé qui bande comme un malade ! Il ramène ses jambes sur le lit. Je me suis allongée à côté de lui. Je me love à nouveau contre sa poitrine. Il me prend dans ses bras. Je sens comme un petit pincement dans le dos, qui libère mes nichons. On se débrouille tous les deux pour balancer la lingerie inutile quelque part dans la chambre. Mon string prend bientôt le même chemin, après un glissement subreptice le long de mes cuisses. Nous voilà à égalité. Et moi toute intimidée. Excitée, mais timide devant ce corps avec lequel je vais bientôt pour la première fois me fondre. Et d’abord cette queue… sa bite… à apprivoiser… Je laisse ma main errer, s’approprier ce mandrin, sans détourner mes yeux de son visage, que j’aimerais voir frémir. Le premier contact est inattendu. Cette fermeté mais aussi cette douceur. Cette chaleur également. Je m’enhardis. Je l’enserre entre mes doigts. Je commence à le branler doucement. Puis je le parcours de la paume, ...
    ... doucement. La tige d’abord, et j’arrive bientôt à un gros repli que je sens au bout des mes doigts. Je vois que ma caresse change l’expression de son visage. Il se contracte, ses yeux se ferment, sa bouche est entr’ouverte, il respire de façon plus irrégulière, il geint… Je ne peux continuer comme ça, à l’aveuglette. Il faut que j’affronte. Alors je me glisse sur sa poitrine, sur son ventre un peu replet, et approche le visage de son membre. De la main, je manipule sa queue, et j’observe. Le gland foncé. Le bourrelet qui en fait le tour. Le frein. Cette belle hampe à la peau si fine sous laquelle se profilent ses veines gonflées. Et plus bas, son petit « sac à couilles », à la peau toute ridée. Sa bite se dresse au milieu d’une toison de poils gris et blancs, qui parsèment également ses bourses. Au-dessus de ses cuisses poilues. Ses jambes sont trapues, et très bien galbées, avec des mollets comme on en voit dans la statuaire grecque, sur les illustrations des livres d’histoire, au lycée… Je ne peux me faire une idée de ses fesses, qui s’enfoncent dans le matelas. Je me promets d’investiguer plus tard. Comment est-ce, des fesses d’homme ? Est-ce que, lui aussi, considère que son petit trou n’est pas interdit ? Je reviens vers la bite bandée ; je parcours du bout de l’index la veine qui longe, devant. Je tente de remonter la peau sur le gland, ce que Xavier me dira s’appeler « le prépuce ». Il est trop tendu, je ne peux pas aller plus loin. Je vois une goutte de liquide sourdre ...
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