Il faut sauter le pas
Datte: 24/04/2021,
Catégories:
f,
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... du petit trou, au bout. Je suis curieuse. Je passe le doigt pour la recueillir. Je la porte à mes lèvres. Le goût est sauvage, mais me plaît. Ça m’excite un max ! Et si je le léchais, comme moi il m’a bue la fois précédente ? J’avance la langue et la passe sur le gland. C’est tout doux. Je m’enhardis. Je lèche. Un peu. Je lève les yeux pour voir sa réaction. Son regard semble me dire : «C’est bon ! Continue, s’il te plaît ! ». Alors je lèche, soigneusement, tout du long… Un gémissement de Xavier. Visiblement, il apprécie. Puis j’arrive en haut de l’ogive. Un bisou appuyé. Le gland exsude de grosses gouttes de son nectar que je lèche avec délectation. La peau tendue et fine est d’une saveur délicate. Je ne résiste pas, et comme un gros sucre d’orge, j’embouche toute cette rondeur, épousant du plat de ma langue celui de l’organe, et de mes lèvres le bourrelet. Je suce. C’est sublime. Je goûte et bientôt la salive s’épanche de mes lèvres. Xavier soupire et souffle derrière moi de plus en plus fort. Il parvient à articuler doucement : – Arrête, sinon je vais jouir dans ta bouche… J’ouvre la bouche et relâche ma friandise. Dommage ! Mais ce n’est que partie remise ! Jouir dans ma bouche ? Je note dans ma tête. Alors, il me saisit par les hanches, écarte une de mes cuisses, la fait passer au-dessus de son visage, et me voilà à califourchon au-dessus de lui. Il presse sur mes fesses pour les abaisser, et pose ma fourche sur son visage. Je frémis. Je m’accroche à sa bite que j’ai ...
... là, devant mes yeux bigles, et je me mets à onduler des hanches en frottant mon entrejambe sur les amers de son visage. Je perçois son menton sous mon Mont de Vénus, son nez en plein cœur de mon corail, et la langue qui commence à me laper, à faire tanguer ma perle précieuse. La sensation est divine. Je ne pense plus trop à sa queue. Je me focalise sur la montée de la vague au centre de mon ventre, l’oppression délicieuse dans ma poitrine. Je frotte mes nichons contre son ventre. J’écarte mes cuisses. Je m’écartèle. Je veux faire fusionner son visage avec ma vulve… Il écarte mes fesses. Il passe le doigt dans ma raie. Pendant qu’il suce mes lèvres d’en bas, qu’il les martyrise divinement, qu’il se gave de ma liqueur sacrée, il caresse mon petit soleil noir, presse dessus ; je sens sa langue qui investit mon puits encore mi-clos d’un côté, et un doigt qui doucement écarte les replis de mon petit trou, s’immisce, tâte, assouplit. J’ai l’esprit qui progressivement s’échauffe, s’envole, mon ventre qui se transforme en fournaise délicieuse. Je tente de continuer à lui branler la bite, mais je ne peux plus, axée sur le plaisir qui m’envahit, la jouissance qui enfle… Ça gonfle, ma respiration hésite, ma poitrine se serre, ça me prend… jusqu’à ce que tout à coup l’orgasme me fauche, me fasse exhaler un cri inarticulé, et que je m’affale définitivement en travers de son corps, la joue appuyée contre sa queue. Instants d’extase que je veux poursuivre. Je lance un bras vers mon jean en ...