Francky Stein et les dimensions humaines - Histoires de Sexe

Francky Stein et les dimensions humaines

... lèvres pour que le piercing trace un sillon jouissif sur son passage. J’engloutis le membre presque jusqu’à la garde et je me mets à pomper ardemment en gardant les lèvres bien serrées. La verge gonflée est prête à exploser sous la caresse de mes lèvres, alors je contrôle mes agaceries buccales pour l’aider à se retenir de jouir. Quand je sens que la pression descend, je reprends mes frénétiques va-et-vient d’une bouche que les nymphomanes pourraient bien m’envier… bzzzzziiiiiiiii… « Processus enclenché, ne touchez plus à rien ! Je lâche le sexe d’Alex et je me précipite dans la pièce juste à temps pour voir Béryl se réjouir devant la porte de la machine et j’entends : « Opération réussie, vous pouvez ouvrir la porte… » — Noooooonnnn ! J’attrape Béryl par les épaules et je lui lance : — Qu’est-ce qui t’a pris ?— Ne rouspète pas : c’est toi qui m’as dit de faire ce que je voulais pour m’occuper ; alors je me suis dit que je pouvais me faire venir de la compagnie. J’ai donc programmé la machine pour que le couple Dominique et Camille me rejoignent.— Mais tu les connais ?— Bien sûr ! Alex est arrivé entre-temps et s’en mêle : — Vous pouvez sortir de la machine ! La blonde Camille aux petits seins se matérialise toute nue en sortant de la cabine, suivie de Dominique. L’homme est magnifique, aussi blond qu’elle et lui ressemble, mais ils gardent chacun les atouts de charme de leurs sexes respectifs. Camille se précipite dans les bras de Béryl, visiblement heureuse de la revoir. — ...

... Je pensais que je ne te reverrais jamais, pas plus qu’Alyséa !— La seule qui ne se souvient ni d’où elle vient, ni de ce qu’elle a vécu avant d’arriver ici, c’est elle.— Moi ? Je ne comprends rien, je ne comprends rien…— Alyséa, me dit Alex d’une voix douce, franchement, tu crois qu’on vient de nulle part ? Qu’on se matérialise comme ça ? Juste après quelques clics et quand on appuie sur le bouton final, tu imagines qu’on passe de la non-existence à l’existence ? Les réalités sont bien différentes quand on passe d’une dimension à l’autre.— Les réalités ? Des dimensions ? Au bord de la panique, je me mets à hurler : — VICTOOOOOR ! Des pas qui dégringolent les escaliers. Mon compagnon qui se précipite au bas-sol et qui se plante devant moi. — Arhhh… Arrête de m’appeler par ce prénom, Alyséa ; tu sais que je préfère « Francky ». Je bafouille tout ce qui s’est passé. Il comprend la situation et se retourne vers les autres, puis d’une voix ferme : — Tous les quatre, je vous renvoie d’où vous venez. Allez, zou ! Rentrez deux par deux dans la cabine, que j’inverse votre venue.— Bonne idée, s’esclaffe Béryl. Béryl repart avec Alex, puis Camille et Dominique suivent le même chemin inter-dimensionnel pendant que mille questions trottent dans ma tête. Nous nous retrouvons tous les deux, Francky et moi, et il m’explique : — Alyséa, ce matin, après ton arrivée, j’ai rajouté à mon invention la programmation « mémoire » qui te fait défaut, pour que chaque créature suivante se souvienne d’où ...