Francky Stein et les dimensions humaines
Datte: 29/04/2021,
Catégories:
f,
fh,
frousses,
couple,
couplus,
extracon,
inconnu,
vacances,
plage,
cérébral,
revede,
Masturbation
Oral
nopéné,
piquepince,
exercice,
portrait,
délire,
fantastiqu,
... elle vient. Tu retourneras dans la machine pour que j’opère quelques petites modifications et des rajouts, si tu veux bien.— Mais alors, Francky… je suis… comme eux ?— Oui, mais tu vas t’adapter à la Terre d’ici. Tu verras : elle est sympa comme tout, cette dimension, et je vais te réimplanter ta mémoire originelle pour que tu compares et que tu te rendes compte que tu ne perds rien au change. En plus, je compléterai avec un programme « sentiment et personnalité » et tu choisiras toi-même les données qui te plaisent. J’espère que tu voudras bien accepter que je te rajoute la notion de « fidélité » et que je baisse ta « libido ». Ensuite, avec la fonction « sommeil », tu te sentiras bien mieux. Une bouffée d’angoisse s’empare de moi, mes poumons sont compressés, je suis terrifiée par la réalité et je scande de plus en plus fort d’une voix paniquée : — Tu me reprogrammes, tu me perfectionnes… Et l’amour dans tout ça ? Et l’amour ! Et l’amour ! ET L’AMOUR… ︽ ︾ ︽ ︾ ︽ ︾ ︽ — Ça ne va pas, ma chérie ? Je porte ma main à la gorge ; elle est nouée. J’ouvre les yeux sur la semi-obscurité. Je tâte à côté de moi sur le lit : mon compagnon Francky est là. Je respire un bon coup, tout va bien : nous sommes sur cette bonne vieille Terre et j’ai fait un terrible cauchemar ! Tout m’a semblé tellement réel ! — C’était horrible ! J’ai rêvé qu’on s’était retrouvé sur l’ancienne plate-forme de l’Écosse en 2113. Tu venais d’inventer la machine pour faire venir des gens « sur mesure » d’une ...
... autre dimension. En cachette, j’avais utilisé ta machine avec l’envie d’un homme, mais en me trompant dans les sélections. Un couple est arrivé… et puis… j’ai compris seulement après que tu m’avais créée et fait venir, comme eux.— Calme-toi, Alyséa, tout va bien. Je comprends ton angoisse. Attends, j’allume. Il frôle l’espace cellulaire et la réalité lumineuse remplit la pièce d’une douce lumière matinale. — Il te vient d’où, ce cauchemar ? Peut-être que notre arrivée hier après-midi à l’échangeur d’espace hôtelier t’a perturbée pour le début de nos vacances.— Je ne sais pas, mais c’était terrible : ça se passait il y a un siècle et il n’y avait pas d’amour entre nous !— Pas d’amour ! Et du sexe… hum hum… nous deux ?— Pas plus ! Et apparemment, j’étais en manque.— Alors comme ça, Alyséa, ta jolie chatoune voulait recevoir des gâteries ? Mais maintenant que je suis là, on va se faire un petit délire de sexualité réelle, si tu veux.— À la plage ?— Bonne idée ! On se prépare et on se présente à l’échangeur ; je crois qu’il y a un départ dans dix minutes. Voilà, nous y sommes. J’ai mon petit paréo mignon comme tout noué sur ma poitrine ; et je dois dire qu’à trente-cinq ans, bien des jeunettes pourraient m’envier mes seins naturels fermes et ronds. Francky resserre son pagne autour de sa taille. Nous entrons dans la cabine « voyage pour couple » et la voix nous demande : — Quelle est votre destination ? Mon chéri propose qu’on échange l’hôtel contre une plage paradisiaque au bord ...