1. Séduction délicate de la soeur de ma mère (16)


    Datte: 30/04/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    ... sa nuit cauchemardesque. Un bruit de porte m’indiqua qu’Oscar était bel et bien puni dans sa chambre pour une heure selon les dires de Véronique. Une fois dans la cuisine ma tante très énervée se resservit un café et me demanda une cigarette. — La barbe maintenant ! Il n’écoute rien et n’en fait qu’à sa tête mais je t’ennuie avec mes histoires. Dit-elle en me passant la main sur la joue. — Non tu ne m’ennuies pas et t’es vachement affectueuse le matin, c’est agréable. — Tu veux un autre café ? Demanda-t-elle en se mettant debout près de la cafetière. — Oui volontiers je vais t’aider. — Ah j’ai compris… Dit-elle en desserrant sa ceinture. J’aimais désormais sa façon de se comporter avec moi, elle affichait une sorte de désinvolture quand elle me manifestait son désir d’avoir des rapports sexuels. Je serrais son corps contre moi en l’embrassant comme un sauvage. Ma tante en redemandait en passant ses mains sous mon boxer constatant par la même occasion mon sexe rigide. Elle jubilait intérieurement avec un haussement des sourcils significatif. D’une manière expéditive elle débarrassa nos tasses de la table et comme hier soir, elle y déposa sa robe de chambre. — Maintenant nous avons notre temps. Dit-elle avec sa chemise de nuit ouverte. — Oui cette fois on va être tranquille ma Véro, étends-toi sur ta robe. En l’accompagnant pour s’installer sur le dos. — Quand je pense que mes enfants sont en haut Patrick et que j’ai puni Oscar, me voilà à nouveau à poil devant mon neveu. Me ...
    ... confia-t-elle en se délestant de ses chaussons. — On va faire vite… Ma jolie Tatie oublia vite ses remords du moment et souleva ses longues jambes dans la foulée, preuve qu’elle voulait se faire mettre au plus vite. Je m’affranchissais de l’étape inutile des préliminaires vu le degré d’excitation de Véro. Elle me fit un grand sourire puis déposa ses pieds élégants sur chacune de mes épaules. — Je te laisse faire tout ce que tu veux avec moi. Me fit-elle remarquer. — T’es une sacrée hypocrite ! Avec mon pénis gorgé de sang positionné à l’entrée de sa source. — Oui enfin tu fais de moi ce que tu veux, tu me donnes des ordres et je t’obéis… Insista-t-elle pour rejeter le poids de notre relation incestueuse à mon encontre. — Obéir est un grand mot, disons que tu aimes être conseillée comme en ce moment. Rétorquai-je tandis que ma verge plongeait dans sa fente pour s’imbiber de sa liqueur. — Oui…euh c’est un grand mot… Bafouilla-t-elle confuse dans ses propos en se laissant pénétrer. — Qu’est ce que je peux aimer te baiser Véronique ! M’extasiai-je en la limant consciencieusement. — Tu me le dis à chaque fois…oui…encore…encore… Malgré ses encouragements, je maintenais mon rythme langoureux pour savourer les glissades de mon sexe entre ses parois intimes. Mais ma tante désirait une baise brutale, purement sexuelle. Elle se montra insistante en me toisant. — Baise moi fort…que j’oublie le japonais ! S’écria-t-elle sans se soucier des enfants au premier étage. — Parle plus doucement ...
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