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Séduction délicate de la soeur de ma mère (16)
Datte: 30/04/2021, Catégories: Inceste / Tabou
... Tatie chérie… Tout en amplifiant mes va et vient dans son bas ventre. — Oui c’est mieux… En lui donnant des coups presque électriques tant je la voyais frissonner, allongée sur la table. — Alors ? C’est bon de retrouver ton neveu ! En la pilonnant à un tel point que la table bougea de place. — Ohhhh… S’épanouit-elle en dissipant ses frissons pour les remplacer par de lentes raideurs tout le long de son corps. — Encore ? En lui arrachant des coups de bonheur à chacun de mes coups de boutoirs entre ses cuisses dispersées. — Oui…encore…encore… En haletant de plaisir. — Ca vient ma chérie. En saisissant ses chevilles à pleines mains. — Hannn…Hannn… Suffoqua-t-elle les jambes grandes écartées. Cette posture relativement impudique m’installait dans la position du mâle conquérant avec ma tante dans le rôle de la femelle soumise, ce qui ne la dérangeait guère. Notre jouissance commune se mut dans un immobilisme étrange. Nous nous regardions sans échanger un mot en restant l’un dans l’autre un long moment, puis Véro ajouta. — C’est vraiment pas possible avec toi… En avançant son bassin, désireuse de me garder en elle. — Quoi ? — Je ne sais pas comment te le dire, t’es juste super… En contractant difficilement sa source pour me faire comprendre combien elle aimait se faire baiser par son neveu. — Tu aimerais un troisième enfant ? En lui léchant ses orteils si raffinés. — Patrick…oui j’aimerais mais c’est déjà dingue ce que l’on fait dans cette pièce. Tu sais que je suis la sœur de ta ...
... maman, ne l’oublie pas. On part dans l’inconnu… Nous regagnâmes chacun nos chambres respectives pour y prendre une bonne douche. Jules resta couché toute la journée, sa mère veillant sur lui. Oscar fit la gueule durant toute la journée et à l’heure du dîner, il se décida enfin à sourire. Le plus petit ne mangeait qu’une soupe pour monter se coucher ensuite. Oscar à son tour vint nous dire bonsoir et promettait à sa maman qu’il serait très sage. Il avait l’âge pour être imprévisible et du haut de ses dix ans il nous prenait de court. — Maman, pourquoi tu n’épouserais pas Patrick ? Vous ne vous disputez jamais et Patrick te fait tout le temps rire ? Face au silence et à l’embarras de ma tante, j’intervenais immédiatement. — Mais Oscar j’adore ta maman mais je ne peux pas l’épouser car je suis ton cousin. Ma maman est la sœur de la mienne. Tu comprends ? — Oui à peu près, mais c’est dommage vous allez super bien ensemble ! Vous pourriez dormir dans la même chambre comme ça tu ne serais plus seule maman. Proposa-t-il tout naturellement. — Non Oscar, je ne peux pas. Répondit-elle terriblement embarrassée. — Allez ! Dormez tous les deux, je ne le dirai à personne et Patrick tu veilleras sur ma maman. — Ecoute Oscar, Patrick n’est pas mon copain. Je suis sa tante et il dort dans sa chambre mais c’est gentil de penser à moi. Dit-elle en lui faisant un baiser sur la joue. Le petit avait semé le trouble entre Véronique et moi. Envisager de baiser ma tante relevait de l’impensable et ...