1. La pension de madame Dutier


    Datte: 30/04/2021, Catégories: fh, fagée, voisins, gros(ses), bizarre, laid(e)s, sales, Oral pénétratio, uro, attirautr,

    Seuls les noms et lieux ont été modifiés, bien sûr, le reste est authentique. Il y a deux ans de cela, je sortais d’une année de galère : divorce, perte d’emploi et tout ce qui va avec. J’ai finalement déménagé à Nantes pour y trouver un nouveau job qui avait l’air de me convenir. Trois mois après avoir été embauché, mon patron me demanda si un chantier de longue durée, environ quatre mois, m’intéresserait : je sautai sur l’occasion, car les conditions pécuniaires étaient intéressantes. Me voici donc parti en Auvergne, dans une ville d’eaux, pour travailler à la rénovation d’un hôtel. Les deux premières semaines, je loge à l’hôtel – pas celui en construction, bien sûr – et comme il est convenu que toutes les deux semaines je reviendrai à Nantes, me voici de retour au bercail. Le lundi, je passe à la boîte pour faire le point et c’est là que je rencontre Georges, un collègue habitué aussi à ce genre de chantier. C’est sur ses conseils que, de retour en Auvergne, je cherche une pension de famille, car j’ai négocié mes frais de déplacement et d’après lui, je peux encore gagner, avec ce genre d’hébergement, environ deux cents à trois cents euros de plus par mois ! Me voici donc installé à la pension de madame Dutier. Une femme pas marrante, mais la pièce, au demeurant confortable, est louée à un prix dérisoire, avec un petit-déjeuner assez copieux. J’ai une chambre au premier, la maison comportant trois étages. Les autres locataires sont des curistes, mais assez peu nombreux ...
    ... car nous sommes en fin de saison. Parmi eux, des hommes et des femmes, pas tout jeunes et plutôt du genre casse-bonbon quand je cause avec eux. Il y a en particulier une femme – appelons-la Louisette - assez revêche, à qui on ne peut donner un âge, mais certainement plus de soixante ans, portant moustache et qui trouve toujours un prétexte pour tout critiquer, jusqu’au temps, car durant une semaine il a plu tous les jours. Je sais qu’elle occupe une chambre au troisième, et ce depuis environ six mois. La raison de sa présence n’est donc pas la cure et pour tout dire, je m’en fiche éperdument. C’est au cours de mon deuxième mois à la pension que madame Dutier me demande si je veux bien déménager au troisième, car elle envisage des travaux dans les chambres du premier durant l’intersaison. C’est ainsi que je deviens le voisin de palier de Louisette. C’est aussi à partir de ce jour qu’elle s’est mise à me dire bonjour avec le sourire, mais sans plus. Un soir, quelques minutes avant de me mettre au lit, alors que je suis dans ma chambre en train de lire, on frappe à ma porte. J’ouvre et je me trouve face à une Louisette vêtue d’une chemise de nuit – oh ! pas quelque chose de sexy, non : une bonne vieille chemise de nuit en coton, boutonnée jusqu’au ras du col et qui lui descend jusqu’aux pieds ; elle venait me demander de venir voir si je pouvais redonner vie à sa télé. Ici, je dois dire que les chambres de la pension ne sont pas équipées de téléviseur, mais ce que j’appris ce ...
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