La pension de madame Dutier
Datte: 30/04/2021,
Catégories:
fh,
fagée,
voisins,
gros(ses),
bizarre,
laid(e)s,
sales,
Oral
pénétratio,
uro,
attirautr,
... soir-là, c’est que Louisette avait amené son propre récepteur. Je me rends chez elle, pas vraiment enthousiaste, mais bon. Sa chambre est située juste en face de la mienne et je n’ai donc qu’à traverser le couloir. La première chose qui surprend, c’est l’odeur : ça sent le vieux, ou plutôt la vieille. Sur une chaise, elle a placé ses affaires et la culotte blanche posée sur l’ensemble indique qu’elle doit dormir les fesses à l’air ; mais pour tout dire, elle n’a rien de sexy, ni l’aspect ni le corps ; on devine simplement ses gros seins sous sa chemise de nuit, mais sans plus. La télé est du genre portatif et fonctionne avec une antenne intérieure. Je ne suis pas long à trouver la panne ; c’est le câble qui est cassé au niveau de la prise. Je lui fais une réparation de fortune, en lui indiquant que le lendemain, j’amènerai ce qu’il faut pour réparer de façon plus solide. Je regagne ma chambre après qu’elle m’ait remercié, et je continue ma lecture jusqu’à ce que le sommeil me gagne. Le lendemain soir, en rentrant du travail, je frappe à sa porte et, muni d’une paire de pinces et d’un tournevis, je fais une réparation plus solide. Elle est très satisfaite et me demande à combien se monte ma prestation. Je ne lui demande rien, mais ce dont je me rappelle, c’est qu’elle me dit quelque chose comme « Cela mérite bien une récompense ». Le même soir, il est environ neuf heures, je viens de me laver les dents et on frappe à nouveau à ma porte. Immédiatement, je pense que ma ...
... réparation a lâché et je me prépare à revenir chez Louisette pour reprendre mon travail. C’est bien elle qui est là, toujours avec la même chemise de nuit que la veille, si ce n’est un détail que je ne remarque pas de suite, mais qui a son importance : les quatre boutons ne sont pas attachés. Elle est tout sourire et me dit : — Je viens pour vous récompenser. C’est vrai que quelquefois, je suis un peu naïf, et je pense qu’elle va me donner quelque chose du type bouteille de vin ou autre, mais elle ajoute : — Je peux entrer ? Je m’efface, et c’est elle qui ferme la porte derrière elle. Je m’attends à ce moment-là qu’elle sorte de derrière son dos une bouteille, mais non ; elle est venue les mains vides ! — J’ai envie de vous sucer, vous voulez bien ? Alors là, je ne sais plus quoi dire ! Les bras m’en tombent, surtout - je le redis - elle n’a pas un physique agréable, avec ses moustaches, ses bajoues, rien d’attirant. — Ça me ferait plaisir, vous savez, j’ai pas souvent l’occasion de rencontrer des gens aimables comme vous. C’est vrai que depuis que je suis arrivé dans cette ville, je n’ai pas trouvé chaussure à mon pied, peu de jeunes, pas d’endroit où draguer, et puis mon boulot me prend pas mal de temps. Et là, une vieille, fanée, moche, flasque vient me proposer une gâterie. Je ne sais pas quoi répondre mais, allez savoir pourquoi, je réponds « oui ». Je m’attends à ce qu’elle ôte sa chemise de nuit, ou quelque chose comme ça, et je n’ai pas envie de la toucher, ni même de la ...