1. La pension de madame Dutier


    Datte: 30/04/2021, Catégories: fh, fagée, voisins, gros(ses), bizarre, laid(e)s, sales, Oral pénétratio, uro, attirautr,

    ... caresser au travers du tissu, tellement ma surprise est grande. Elle me dit simplement : — Allongez-vous. Je fais glisser mon pantalon et mon slip et je m’assieds sur le bord du lit. À cet instant, j’ai vraiment l’impression de me trouver avec une pute que j’ai raquée et qui me fait, vite fait bien (ou mal) fait, une pipe au tarif syndical. Elle s’assoit à ma gauche et, d’un geste, elle m’incite à m’allonger complètement sur le lit, ce que je fais sans chercher à comprendre. À ce moment-là, j’imagine tout et n’importe quoi : en particulier je la vois bien relever ou enlever sa chemise de nuit, et se mettre à califourchon sur moi pour me sucer en offrant sa chatte de vieille à ma vue, et peut-être me demandera-t-elle de la sucer à mon tour, ce qui ne m’enchante guère ! Mais non, elle se penche et, immédiatement, ma queue se retrouve enserrée entre ses lèvres. Elle commence alors un travail que je dois qualifier de remarquable. Je ne sais rien d’elle, ni même son âge, mais ce que je peux affirmer c’est qu’elle sait travailler une queue ! En désespoir de cause, je ferme les yeux, me laissant aller au plaisir, et elle sait y faire. Tantôt aspirant le gland contre son palais, tantôt glissant ma queue entre sa joue et ses dents, tout cela sans aucune morsure, pompant, puis s’arrêtant d’un seul coup, elle prend le gland entre ses lèvres, titille le méat avec sa langue, puis recommence le pompage. De la façon dont elle est habillée, avec cette chemise de nuit, sous laquelle je ...
    ... sais qu’elle n’a rien, je peux juste caresser un sein, et encore : de temps à autre, elle repousse ma main. Ce qui doit arriver arrive ! À force d’aspirer, de pomper, de sucer comme il le faut, je lui lâche toute ma marchandise dans sa bouche qui demeure collée à mon gland, tandis qu’elle me caresse les testicules avec un savoir-faire d’experte. J’ai l’impression que sa langue est arrivée au fond de mes bourses et qu’elle y nettoie la réserve de sperme ! Je suis vidé comme rarement je l’ai été ! Et elle ne lâche toujours pas le gland. Je la sens déglutir, car elle avale tout le contenu de mon éjaculation ! Puis, sans que ma queue ait le temps de se remettre de ces émotions, elle se remet à me pomper, mais l’effort ayant été ce qu’il fût, ma queue refuse tout service nouveau ! Comprenant rapidement que ce sera vain, elle se détache enfin, se lève : — Ça va ? Je réponds un timide « oui », tout en regardant ma queue flasque et rouge posée sur ma cuisse. Alors, sans rien dire, elle attrape le bas de sa chemise de nuit et l’ôte, se découvrant entièrement nue devant moi ! Elle a le corps d’une vieille femme, des seins gros et pendants, le téton face au sol, quant à son sexe, il émerge au milieu d’une toison des lèvres fripées, noires plus que roses. Elle pose sa chemise de nuit sur mon lit, et s’approche de moi en posant ses mains sur son sexe qu’elle ouvre. — Il te plaît ? Alors là, la trouille me prend, je n’ai pas honte de l’avouer. Je me vois contraint de sucer ce sexe, dont la ...
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