La pension de madame Dutier
Datte: 30/04/2021,
Catégories:
fh,
fagée,
voisins,
gros(ses),
bizarre,
laid(e)s,
sales,
Oral
pénétratio,
uro,
attirautr,
... vue là, devant moi, de la tripoter, je lui donne maintenant près de soixante-dix ans ! Et pourtant elle m’excite ! Avec sa moustache, mais quand je la regarde, je ne vois que ses lèvres qui m’ont donné tant de plaisir quelques minutes plus tôt ! Dans le mouvement que j’ai fait pour la rapprocher de moi, elle a collé ses seins sur ma poitrine, ce qui contribue à augmenter mon excitation, et son ventre est à présent collé à ma queue qui pointe vers le haut ! Nous ne nous sommes toujours pas embrassés, et pour tout dire, cette bouche qui m’a sucé un peu plus tôt ne me tente pas ! Surtout la moustache. Maintenant je devine son désir, elle veut que je la pénètre, sans dire un mot, mais je sens son désir se faire plus fort chaque seconde. Je me dis que sous son poids (elle n’est pas maigre) si je bascule en arrière sur le lit, elle ne mettra pas plus d’une seconde à s’enfiler ma queue dans sa chatte largement ouverte ! Mais pour moi, pas question ! D’abord un petit chapeau s’impose. Je me rends compte alors comment j’ai pu me faire piéger ! C’est elle à présent qui mène les débats, ou plutôt les ébats ! Mes mains sont passées sous ses fesses, et j’essaie en vain d’arriver à son sexe, mais elle est assez corpulente et mes tentatives demeurent sans effet. Il me faut quelques instants pour trouver la solution : je me laisse aller à la renverse et la fais glisser sur le côté, de façon à ce qu’elle se trouve allongée en travers de ma couche, me permettant ainsi de me dégager. Je me ...
... retrouve debout, tandis qu’elle, ayant compris ce que je veux, s’est installée en travers du lit, et en remontant ses jambes, elle ouvre son sexe en tirant sur ses lèvres. Quel spectacle ! La chair rose de son entrée vaginale est toute gluante de ces pertes blanchâtres dont j’ai encore les traces sur mes mains, et le pire c’est que ça se met à dégouliner sur le dessus-de-lit ! Je pense à la femme de chambre de madame Dutier qui, trouvant ces traces, se demandera quelle en peut en être l’origine ! — Tu viens ? C’est la première fois qu’elle me tutoie. — Je me couvre avant, lui dis-je.— Tu sais, ça fait si longtemps… avec moi, il n’y a pas de risque. Elle est offerte, son sexe flasque ouvert, ses doigts tirant de façon exagérée sur ses lèvres noires et excitantes, je me pose la question du préservatif ou pas. La seule chose qui m’indispose est en fait cet écoulement blanchâtre. — Et ça ? Disant cela, je lui introduis mon index dans le vagin, et le tournant un peu, je le retire tout plein de cette matière blanchâtre. — Oui, je sais, mais c’est à cause de vous ! J’ai très envie, maintenant ! Venez, je vous en supplie ! En d’autres temps, une femme plus jeune se positionnant comme ça devant moi, je lui aurais bouffé le clitoris, mais là cette vieille, avec ses bourrelets, ses seins qui tombent maintenant de chaque côté de sa poitrine, non, merci bien ! Je bande quand même de plus en plus à cette vue de sexe ouvert, et je n’ai qu’une trouille, hormis les maladies, c’est qu’elle se ...