La pension de madame Dutier
Datte: 30/04/2021,
Catégories:
fh,
fagée,
voisins,
gros(ses),
bizarre,
laid(e)s,
sales,
Oral
pénétratio,
uro,
attirautr,
... demander d’autre ! Elle ouvre la porte et me dit simplement, avant de la refermer : — Bonsoir. Je l’entends rentrer chez elle et fermer sa porte. Je n’ai qu’à nettoyer un peu, laver le gant plein d’urine et de sécrétions et une petite demi-heure plus tard, je dors. C’est le lendemain, au petit-déjeuner, que je prends vraiment toute la mesure de ce qui m’est arrivé. Je descends en général vers sept heures, et Louisette arrive invariablement vers sept heures et quart. Elle s’installe à sa place habituelle, sur la table voisine de la mienne. Pas un mot, pas un regard, aussi revêche que les autres jours, alors que nous sommes seuls dans la petite salle à manger. C’est en la regardant d’un autre œil, ce matin-là, que je me dis que quand même, j’ai bien peu de goût : elle est effectivement pas du tout attirante, et pourtant je me dis que cette bouche, entourée de poils noirs, m’a procuré une douzaine d’heures plus tôt un sacré plaisir, comme quoi… Sur ce, je termine mon café, et je vais à ma journée. Le soir venu, lorsque je rentre, j’entends la télévision dans sa chambre. Je me douche, et je vais ensuite, comme souvent, dîner en ville. C’est en revenant vers dix heures qu’à peine entré dans ma chambre, je l’entends frapper de nouveau à la porte. Ce soir, elle est habillée comme je l’ai vue le matin, c’est-à-dire avec une robe de coton. — Je peux entrer ? Elle entre, je referme ma porte derrière elle. Elle me regarde en souriant : — On recommence ? Ça m’a bien plu, vous savez. ...
... Cela fait plus de dix ans que je n’avais pas eu un homme. Je suis stupéfait. C’est Docteur Jekyll et Mister Hyde, du moins au féminin ! Le matin pas un regard, et le soir elle vient chercher son petit plaisir ! Je suis pris au dépourvu, mais je me reprends vite : — Pourquoi pas ? J’essaie de l’attirer contre moi, mais elle se refuse. Elle entreprend alors de déboutonner sa robe, et de la faire glisser. Strip-tease de vieille ! On aura tout vu ! Je me recule légèrement, et admire – si on peut dire – ce spectacle. Elle porte sous sa robe une combinaison de couleur chair, comme on dit, mais assez transparente tout de même pour que l’on aperçoive au travers qu’elle a une espèce de combiné qui fait soutien-gorge, gaine et porte-jarretelles, car elle a des bas. Elle ôte sa combinaison comme elle a, la veille, enlevé sa chemise de nuit. Elle n’a plus que ce combiné et une culotte blanche, la même que celle que j’ai aperçue sur la chaise, chez elle, lorsque j’y suis allé. Elle la pose, après l’avoir pliée soigneusement, sur sa robe tout aussi bien pliée, sur une des deux chaises qui meublent ma chambre. Je n’ai jamais vu un tel spectacle ! Pas un mot. J’ai l’impression qu’elle se déshabille comme si je n’existais pas, comme elle doit le faire chaque soir dans sa chambre. Elle continue, en faisant glisser sa culotte, la pose sur la combinaison, et là, lorsqu’elle se tourne, je découvre quelque chose que je n’ai jamais vu : ses fesses serrées par cette gaine, avec ses jarretelles tenant ...