L'exposition
Datte: 04/11/2017,
Catégories:
fh,
hplusag,
fépilée,
amour,
fsoumise,
hdomine,
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
fdanus,
init,
initfh,
fsoumisah,
... bandais comme un taureau. Vite déshabillé, j’ai pris position à genoux entre ses cuisses. Mon gland turgescent parcourait sa fente bien lubrifiée, titillait son clitoris. Elle gémissait de plaisir quand, la prenant par surprise, d’un coup de reins puissant je l’ai enfin pénétrée, déchirant son hymen. Elle a poussé un petit cri de douleur et d’effroi, vite remplacé par les spasmes de la jouissance. D’abord lentement ma bite énorme limait son vagin puis j’ai accéléré mes mouvements par de violents coups de boutoir. Quand j’ai senti qu’elle atteignait l’orgasme, j’ai déchargé puissamment. Il nous a fallu un moment pour reprendre nos esprits. Solange pleurait de joie. Avec une infinie délicatesse elle a nettoyé ma verge souillée par son sang. Toujours en guêpière et perchée sur ses talons aiguilles, elle a enfilé un long déshabillé transparent qui accentuait encore l’érotisme de sa tenue. Elle m’avait acheté un très beau kimono en soie. Nous sommes revenus au salon où une table était dressée pour un souper froid : caviar, saumon et vodka, pâtisseries et champagne. Pendant tout le repas nous n’avons pas cessé de nous embrasser et de nous caresser. Par moments elle passait sous la table pour me sucer. À ce régime j’ai vite retrouvé toute ma vigueur : — Solange, tu m’as excité, je n’en peux plus, il faut que je te baise.— Mon chéri je suis là pour te satisfaire, fais-moi tout !— Je vais t’apprendre une autre position, va te mettre en levrette sur le canapé.— Mais c’est comment en ...
... levrette mon amour ? Je suis ignare.— À quatre pattes sur le canapé, la tête en bas, le cul en l’air, et trousse ton déshabillé pour me présenter ta croupe. Dépêche-toi, je ne peux plus attendre.— Oh j’ai compris ! Je suis dans la même position que Fatima, il y a quinze jours quand tu l’as sodomisée à l’atelier, maintenant tu vas me prendre par derrière, je vais être toute à toi mon amour ! Je suis heureuse ! La tête enfouie dans les coussins, des deux mains elle écartait ses globes fessiers afin de m’offrir son petit œillet comme elle l’avait fait en début de soirée. Dans sa naïveté amoureuse elle était persuadée que j’allais maintenant l’enculer. Là n’était pas mon intention pour ce soir, elle était bien trop étroite, il me fallait prévoir une longue préparation. Par contre, l’obligeant à cambrer les reins je lui ai planté ma bite dans la chatte. Elle s’est mise à gémir, son petit con encore meurtri par la défloraison récente. — Ysan, mon chéri, j’ai mal, je suis en feu, mais c’est bon ! c’est bon ! Prends ton plaisir mon amour. J’ai déchargé violemment et mon jus a calmé ses brûlures. Nous étions maintenant assis sur le canapé, amoureusement enlacés et préparant notre voyage en Italie, quand elle m’a demandé la permission de retirer sa guêpière qui la faisait souffrir. Son comportement m’a plu, elle commençait à réagir en femme soumise qui ne doit prendre aucune initiative. Je lui ai donné mon accord à condition qu’elle me propose une autre tenue. Elle m’a alors offert le ...