Un soir après dîner
Datte: 30/04/2021,
Catégories:
fhh,
couplus,
inconnu,
hépilé,
parking,
caférestau,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
Masturbation
Oral
pénétratio,
init,
couple+h,
... Oui… — Eh bien ma Chérie, moi qui croyais que tu travaillais intensément.— C’était pendant ma pause de midi, quand même.— C’est bon, je t’absous mais, en me racontant ta petite aventure, tu m’as excité et je possède la queue la plus dur du restau, ça c’est sûr !— Remarque que moi, mon cœur, j’en suis encore toute retournée, ma chatoûne est toute baveuse… Discrètement, je vais, l’air de rien, récompenser notre voisin d’en face de sa ténacité…— C’est tout à ton honneur, ma Chérie.— Si j’avais prévu, je n’aurais pas mis de culotte, la récompense aurait été plus grande. Très discrets, le Monsieur et sa voisine de table plongent leurs regards ensemble entre les cuisses de M. L’épouse du monsieur passe la langue sur ses lèvres, comme pour nous faire des allusions. Comme ? Ou pour nous faire des allusions ? Monsieur incline la tête, très dignement, en signe de remerciement. Nous leur sourions afin qu’ils soient persuadés du plaisir partagé. Nous continuons notre repas par un petit dessert. Au café, je dis à ma Belle : — Tu m’as tellement agacé avec ton histoire de vendredi que je te propose un extra… Et si nous faisions une petite halte sur le Champ de Juillet (endroit chaud de Limoges à l’époque) avant de rentrer à la maison, juste pour voir ?— Ces deux agréables et distingués voyeurs m’ont encore fait monter la température d’un cran. Alors d’accord pour accepter ta proposition.— Garçon, deux autres cafés et l’addition s’il vous plaît ! Un moment plus tard, nous sortons du « ...
... restau », traversons la rue et montons dans la « Cougar » garée sur le trottoir. — Mon Chéri, qu’as-tu derrière la tête pour nous amuser sur ce parking là-bas ?— Je te propose une petite séance d’exhib, si ça te chante.— Proposition malhonnête acceptée, et comme la dernière fois cela m’a ravie… mais avec prudence. Car, en pleine ville, comme ça, on n’a jamais fait. Et on ne sait pas sur qui on peut tomber.— En route, ma belle… et à la fortune du pot ! Cinq minutes à peine nous suffisent pour être sur le lieu de toutes nos attentes. Nous remontons cette grande place, doucement, en zigzagant entre les rangées de voitures. En bas, deux ou trois péripatéticiennes nous observent, pensant que nous sommes des clients potentiels. — Eh non les filles, nous ne sommes pas là pour vous, et même allons-nous peut-être en quelque sorte vous faire concurrence, dis-je. Je l’espère en tout cas et M aussi, je la connais. Nous arrivons pratiquement en haut de la place. Les « retapeuses » sont perdues de vue. Un lampadaire en panne, quelle aubaine, je me gare juste en dessous, dans la peine ombre. Verrouillage des portières, par sécurité. — À toi de jouer ma Chérie… Je serais toi, je reculerais mon siège pour être plus à l’aise.— Tu serais moi, que ferais-tu, maintenant ?— Je crois que je poserais un pied sur le tableau de bord, puis je commencerais à caresser mon petit abricot tout chaud.— À vos ordres mon commandant !— Non ma Biche, ce n’est pas un ordre, seulement une suggestion.— Je rigole !… Mais ...