Un soir après dîner - Histoires de Sexe

Un soir après dîner

... comment tu sais que mon abricot est tout chaud ?— Juste une impression, comme ça… Allez, concentre-toi et ton fantasme peut-être se réalisera. M se met à son aise, se tortille un peu sur le siège en cuir pour trouver la position la plus confortable. Elle commence à faire glisser sa main le long d’une cuisse, puis c’est au tour de l’autre. Remonte complètement sa jupe jusque par-dessus les hanches pour se libérer totalement. Sa main s’attarde sur son pubis, le caressant doucement, passe entre ses cuisses en une caresse voluptueuse et sensuelle. Je devine que son envie de se caresser plus intimement monte, monte… La main, à nouveau sur son pubis, glisse entre son ventre et la ceinture élastique de son string, la paume posée sur son mont de Vénus tandis que ses doigts frottent langoureusement ses grandes lèvres. À moitié adossé à ma portière, pour ne rien manquer de la scène, je regarde ma femme qui commence à se donner du plaisir. Plaisir qui monte, je la vois tressaillir plusieurs fois, mais je la connais, elle va moduler son mouvement, prendre son temps, tout son temps. Elle sait que j’aime la regarder et elle aime que je la regarde… Donc, je la regarde et tout mon être frémit doucement. Relevant, presque à regret, les yeux de ce joli spectacle, je lance un regard circulaire à l’extérieur. À quatre ou cinq mètres de nous, à moitié caché entre deux véhicules, un homme nous observe. Il se rend compte que je viens de le voir, il ne bouge pas. Je souris discrètement, cela le ...

... met en confiance. S’apercevant que je ne la regarde plus, M relève son visage et du coin de l’œil voit l’homme qui s’approche un peu plus… Elle continue sa caresse doucement, tendant son ventre davantage. Elle lève sa deuxième jambe et la repose aussi sur le tableau de bord. Sa main disparaît, à nouveau, sous la fine dentelle de son string. Elle s’ouvre davantage encore, pour mieux s’offrir, pour mieux se montrer. L’homme, comprenant notre jeu, s’approche, jusqu’à toucher l’aile avant droite de la voiture. Il a vingt-cinq, trente ans, pas mal du tout physiquement. Tout ce qu’il faut pour porter un fantasme à son paroxysme. — Beau mec, ma Biche… Qu’en penses-tu ?— Oui, et ça me donne envie de continuer un peu plus cette petite exhibition, si tu es d’accord, bien entendu.— Coquine, te voir faire, tu sais que cela m’excite… Je t’en donnerais bien l’ordre, mais je ne me permets pas ça parce que tu n’es pas une « soumise », et d’ailleurs, je ne crois pas avoir envie d’être « dominateur ».— Attends un peu, mon coquin, je vais t’offrir la totale… Chéri, j’enlève ma culotte ! Sitôt dit, sitôt fait. En deux temps, trois mouvements ondulatoires, le mini string se retrouve sur le tapis de sol. M replace les pieds en hauteur, écarte de nouveau très largement ses cuisses gainées de bas noirs brillants pour offrir son abricot tout rose, tout gonflé, à la vue de son voyeur. Son majeur s’insère entre les grandes lèvres qu’Elle écarte de son autre main. Afin d’être pénétrée par ce regard ...