Un soir après dîner - Histoires de Sexe

Un soir après dîner

... étranger. — Veux-tu que j’allume le lecteur de carte et que je dirige le pinceau lumineux pour qu’il puisse encore mieux te voir ?— Ouiiiiii… me répond-elle dans un souffle. Je tends le bras, appuie sur l’interrupteur. La lumière crue éclaire les genoux de M. J’oriente le faisceau jusqu’au plus haut des cuisses découvertes. Cela ressemble à une « poursuite » utilisée dans les spectacles pour mettre en valeur la vedette qui est sur la scène. Mais là, la vedette c’est la belle petite chatte de ma femme. Notre voyeur n’a plus aucune gêne, il s’approche de la portière, le nez collé à la vitre. Son regard rivé sur le bijou excité, tout brillant dont le clito est gonflé, pas assez gonflé pour M qui vient de reprendre sa masturbation délicate. Elle glisse un doigt dans sa fente chaude, lève son regard en direction de l’homme, s’assure qu’il la regarde bien. Son doigt arrive sur son bouton turgescent, le badigeonne de mouille, elle écarte encore ses grandes lèvres avec deux doigts de la main gauche puis deux doigts de la main droite disparaissent dans son fourreau d’amour… Lorsqu’elle les retire, ils sont gluants de cyprine… — Tu veux que je baisse, un peu, la vitre, pour qu’il puisse te caresser un peu ?— Si tu veux… Haaaa… Ça m’excite, c’est fou comme c’est fort ! La vitre glisse silencieusement vers le bas. Je l’ouvre aux trois quarts. Et, bizarrement, notre « invité » passe aussitôt le bras par l’entrebâillement et pose sa main sur la cuisse de M qui, à ce contact, écarte ...

... encore plus ses cuisses. Elle veut faire plaisir et se faire plaisir. Elle veut sentir son ventre frissonner. Elle veut sentir son sexe s’écouler. Notre voyeur, devenu participant, s’empare à pleine main de ce fruit offert. Le caresse, le frotte, le titille, le fouille. M me prend la main, me la serre, fort, très fort pour me faire comprendre qu’elle vient de jouir une première fois. Je vois ses jambes se fermer puis s’ouvrir, puis se refermer, se rouvrir. J’adore savoir qu’elle jouit de quelqu’un d’autre et voir sa jouissance cela m’excite, me rend heureux pour elle… Le candaulisme, c’est ça. Je suis tendu comme un arc, raide comme un bambou. — J’ai envie de vous lécher, de goûter à votre fruit tout juteux… M’autoriseriez-vous monsieur ?— Ce n’est pas moi qui décide… Veux-tu, Chérie, que ce monsieur te fasse une petite minette ?— Oui, mais pas longtemps, juste un peu…— Pour être plus à l’aise, il ne faut pas rester ici. Les flics ne vont pas tarder à faire leur ronde. Allons dans la petite rue là-bas, nous n’y serons pas dérangés, suivez-moi. Il passe devant, je démarre la voiture et tout en le suivant jusque dans la ruelle tranquille, je caresse la cuisse de ma princesse et m’égare jusqu’à sa foufoune. Je vous le dis, elle ruisselle ! — Mon cœur, tu ouvres la vitre mais tu laisses la porte verrouillée, d’accord ?— Bien entendu ma Chérie, tes désirs sont des ordres et tes plaisirs sont les miens. Le gars est chaud bouillant. Je n’ai pas arrêté la voiture que, déjà, il s’est ...