Un soir après dîner - Histoires de Sexe

Un soir après dîner

... enfourné par la vitre que j’ai obligeamment baissée complètement. Sa tête entre les cuisses de ma petite femme qui avance ses fesses jusqu’au bord du siège, les jambes écartées au maximum, pour mieux être léchée, sucée, fouillée… Le gars s’active tant et si bien que je l’entends laper, son nez enfoui dans les fesses de M. J’imagine la langue dans ce vagin torride et baveux à souhait. M me prend la main une nouvelle fois, dans sa main gauche. De la droite, elle appuie sur la tête de son lécheur. Elle me regarde de ses grands yeux verts, brillants de plaisir. Tout d’un coup, son bassin tressaute. Elle gémit, soupire, tremble. Ses reins se cambrent, se détendent, vibrent par saccades au rythme de son plaisir. Elle me serre la main à m’en faire mal, me sourit pour me remercier de lui avoir permis cette jouissance. Elle est heureuse, moi aussi, sincèrement. Notre lécheur, insatiable, continue ses coups de langue. Puis je l’entends qui aspire le jus de la jouissance qu’il vient de provoquer. Il déglutit cette liqueur du plaisir pour le plus grand bonheur de M qui, revenue de son orgasme, repartirait bien pour un petit tour, la Gourmande écarte encore ses cuisses. — J’ai envie de boire ta pisse… Pisse-moi dans la bouche ! lui dit-il gentiment.— Je ne peux pas répond-elle. On est en voiture. Le siège va être tâché.— Dommage, j’aurai bien aimé jouir en buvant ton jus.— Si je peux me permettre ma Chérie, tu n’es pas juste, monsieur t’a fait jouir plusieurs fois, il reste un peu sur ...

... sa faim.— C’est vrai, mais, enfin, la voiture… quand même !— Peut-être que tu pourrais lui accorder une petite branlette, en compensation ?— Idée retenue, compensation méritée… mais pas plus, d’accord ?— C’est toi qui décides, ma Chérie.— D’accord Madame, une branlette, rien d’autre. Ma bite toute bandante vous en sera reconnaissante. Merci Monsieur d’avoir eu cette gentille pensée. Sans avoir autre chose à dire, M attire son lécheur au ras de la portière, descend le zip de sa braguette et extirpe, non sans difficultés, une magnifique bite dressée, au gland tout violacé d’excitation. Elle l’empoigne avec douceur, l’enserre avec l’index et le majeur refermés sur le pouce. Exerce une légère pression à la base du gland et commence un va-et-vient calculé. Sa main gauche part à la recherche des testicules restés dans le pantalon. Elle trouve les bourses, évidemment, les malaxe tendrement en continuant de masturber ce sexe dressé pour et par elle. Elle sort aussi cette paire de couilles de son abri. Notre ami est au paradis. — J’adore les hommes épilés comme vous l’êtes, lui dit-elle. Il accompagne les caresses de ma femme par de petits mouvements du bassin. Subitement, elle approche la tête de la portière, passe sa langue sur ses lèvres et la tire jusqu’à effleurer le gland. Elle lui titille le méat de la pointe de la langue, comme pour le pénétrer. Sa langue revient en bouche et ressort toute humide de salive qu’elle s’empresse de déposer sur cette bite toute à la fête. Avec ...