... - 5 octobre
Datte: 30/04/2021,
Catégories:
fffh,
extracon,
médical,
enceinte,
contrainte,
Oral
pénétratio,
policier,
fantastiqu,
couplea3,
... Lentement je reviens. L’appareil bourdonne de manière rassurante, des infirmières sont là. L’alerte a été chaude. Quand deux jours plus tard, deux personnes s’approchent, une plutôt inquiète et l’autre excitée, je me tends. Mais elles ne pensent pas à moi, pour elles je n’existe pas. L’excitation grandit. Je n’avais pas compris tout de suite, car c’est la première fois que je la ressens depuis que je suis ici, c’est une excitation sexuelle. Je suis soulagé, cela déclenche ce que j’appelle, faute de mieux, un fou rire. Quand je me calme, j’identifie l’une deux personnes, c’est une des infirmières qui s’occupe de moi. La signature de l’esprit de l’homme ne m’est pas inconnue, il passe parfois dans le secteur. Il doit travailler à l’hôpital. Ils ont trouvé refuge dans ma chambre pour faire leur petite affaire. C’est vrai que je ne dois pas les gêner, s’ils savaient. Je sens la chaleur de leur étreinte. Je perçois le moment où il la pénètre, la frénésie du coït, la jouissance qui submerge l’homme, suivi de leur départ rapide. La donzelle est dotée d’une solide santé, car ses visites accompagnées dans ma chambre sont quasiment quotidiennes et même parfois pluriquotidiennes. À vue de nez, il n’y a que les nuits où elle n’est pas de service où je n’ai pas droit à sa visite. Elle devait avoir un autre lieu pour ses ébats, dont elle a été chassée. C’est maintenant ma chambre qui lui sert de baisodrome. Au moins une demi-douzaine de gars différents est venue s’ébattre avec elle. Je ...
... finis par savoir à quel genre d’exercice ils se livrent : pipe, cunnilingus, 69, pénétration et, je pense, deux ou trois fois sodomie. Une fois c’est une fille qui l’accompagne. Je participe un peu à leur jouissance. Cela me permet de découvrir le versant féminin du plaisir, bien qu’elle ne prenne que rarement son pied. Je me fais l’effet d’un voyeur. Les visites que je reçois m’aident beaucoup, elles m’apportent du réconfort. Même si la peine de me voir tel que je ne me vois pas est souvent présente, mais il y a aussi de l’amitié, de la compassion, des prières, l’espoir et l’amour de Maman et de mes chéries, tout cela me donne du courage. Mais à part ça, il y a cette présence anonyme si forte qui m’insuffle la vie. Pourquoi je ne retrouve pas l’usage de mon corps, alors que mon esprit fonctionne comme il n’a jamais fonctionné. Je réfléchis et j’ai peut-être une explication. Je tends toute ma volonté vers l’extérieur, vers ce qui m’entoure. Je devrais peut-être déployer la même énergie en la tournant vers moi. C’est le rythme de mon cœur que je sens en premier. Partant de lui, je me lance sur les pistes du reste. Je les remonte lentement, pour me heurter brutalement à un mur de douleur violente. Je me recroqueville, je me replie dans mon esprit, apeuré. Heureusement, la présence que j’appelle mon ange gardien m’aide à retrouver mon calme. Je puise en elle le courage de repartir. La souffrance surgit de nouveau, mais elle ne me surprend pas. Je tiens bon et continue à avancer, ...