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Pute vingt ans après
Datte: 02/05/2021, Catégories: Anal Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme
Je ne suis guère un cordon bleu. Je ne sévis pas longtemps dans macuisine. Cependant ce jour-là je m'échinais à fourbir un plat dont unecopine m'avait communiqué la recette via l'internet. En même temps jerelevais un vieux défi lancé par mon mari de faire mentir ma réputationde piètre cuisinière. Bref j'étais ce jour-là tout à mon jeu et n'ensouffrais pas moins. Machinalement jetais-je un œil par la fenêtre surla rue. J'y vis le voisin d'en face me faire signe. Il faisait laconversation avec un type que je ne reconnus au tout premier abord.J'ouvris la fenêtre. L'un l'autre me parlaient.Peu à peu je discernais dans le discours du voisin que son interlocuteurm'était une ancienne connaissance. Intriguée je ne pouvais qu'autrementaller les rejoindre. Décidément cet homme à tout le moins soixantenairepetit et rabougri ne m'évoquait pas grand-chose. Il fallut que son nomet prénom soient déclarés pour que tout d'un coup s'éclaircisse. C'étaitArmand, notre vieil Armand le menuiser de mes parents. Celui qui venaitsans cesse à la rescousse retaper notre petit château croulant. Le tempslui avait infligé son injure au point que je parvenais fort peu à lereconnaître.Cependant à son sourire je fus d'un coup renvoyée à vingt ans enarrière, au temps de ma jeunesse et d'une relative insouciance. Ouic'était bien lui. Le puzzle se reconstituait peu à peu. Par d'infimesgestes je parvenais enfin à l'identifier. Point de doute. Ce n'était pasun escroc se faisant passer ici pour lui. C'était mon ...
... bon Armand. Dessouvenirs particuliers alors affleurèrent. J'en rougis. Le voisin ayantà faire par ailleurs, il nous laissa papoter sur le trottoir. Je nepouvais que décemment inviter Armand à boire un verre et à poursuivrenotre conversation et évocation du bon vieux temps.Surmontant sa réserve initiale, il se permit le ton badin de l'ancientemps surtout après que je lui eus dis que j'étais seule et que mon marine rentrerait de la piscine avec les enfants que dans deux heures. Ilavait appris par des tiers mon mariage avec untel qu'il connaissait. Ilme marqua clairement son étonnement que j'eus élu celui-ci dont jedisais à l’époque pis que pendre. Je lui concédais que j'avais cédé auxparents et à la pression sociale. Et puis il était de bonne famille etenfin et surtout ce nigaud m'avait par inadvertance mis en cloque. Dansmon milieu on répare.Goguenard il me dit que de toute façon j’avais fait un bon mariage et enconnaisseur de l'art il loua la belle bâtisse où j'habitais. Celasentait son fric. Je reconnus que la société de mon mari engrangeait. Jen'avais pas trop à me plaindre. De mon côté je m'étais muée endirectrice RH dans une boîte peu loin. Mes deux mômes étaient grands etbien élevées et me laissaient du loisir. Bref j'atteignais à laquarantaine heureuse et épanouie. Ce cochon hasarda alors ses premierscompliments. J'étais toujours aussi belle et la maturité avait ajouté àmon charme et ma sensualité.Évoquant cela son regard se jetait sans vergogne sur mes nichons quej’avais ...