1. Pute vingt ans après


    Datte: 02/05/2021, Catégories: Anal Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... gros et lourds et sur mes jambes autant magnifiques qu'avant.J'eus alors comme un geste de pudeur qui ne lui échappa pas. Pour direle vrai cet homme avait été mon premier amant. En quelque sorte moninitiateur aux choses du sexe. Je le connus peu après qu'un copain delycée m'eût dépucelé. Épisode fort pitoyable. Ouvrier régulier dans lapropriété de mon père il avait eu le temps de me repérer et reluquer. Ilfaut dire qu'en ce temps j'étais une belle gosse qui faisait rêver etsaliver tous les mâles.J’étais l’objet de convoitise de tous. Surtout ma réputation de vicieuseet allumeuses se répandait. Je découvrais déjà mon pouvoir magnifique.La déesse que j'étais n'aimait rien tant qu'être adorée en idole. J'euspu me contenter de cet engouement lointain et vouloir demeurerinaccessible à tous ces va-nu-pieds. N’empêche j'avais une amie tropdévergondée et qui goûtait volontiers à la chose avec un homme très muret ami de son père. Avec elle nous parcourions souvent des revues porno.Elle tâchait de me convaincre du prestige du pénis surtout lorsquecelui-ci était gros et performatif.Elle ne m'épargnait aucun détail de ses étreintes avec son mâle cochon.J'en savais plus qu'il n'en fallait. Surtout j'éprouvais à la fois de lahonte et un fort complexe d'infériorité qu’elle eût connu avant moi cedomaine interdit et ainsi fascinant. Mes yeux devaient briller dans lapénombre. Elle me dit que son amant avait aussi pour copain leditArmand. Ce dernier dispensait que j'étais une belle môme et par ...
    ... ailleurscoquine qui savait allumer. Bref il devait autant que d'autresaspiraient à me sauter. Le propos me troublât. J'étais émue à présentquand je croisais Armand dans les couloirs.Toute cette période où je devais découvrir le désir et le vice me revinten déluge dans La mémoire. Le combat entre débauche et innocence avaitalors été homérique en mon esprit. Je n'eus pas à lutter longtemps. Peude choses contrebalançaient l’influence funeste de la copine et lesregards vicieux par en dessous d'Armand et d'autres. Ce n'était qu'unequestion de temps et de savoir qui allait de tous cueillir le fruit tropassuré de la chute de cette forteresse. Armand à ce moment dans lacuisine parlât précisément de cette époque où il me convoitait et où jeme refusais encore.Ainsi parlât-il d'un épisode particulier que j'avais entre temps enfouidans ma mémoire. C'était une après-midi. J'étais venue le rejoindre dansle potager car les parents usaient aussi de lui comme d'un jardinier. Encours le prof m'avait infligé de présenter un exposé sur un aspect debotanique. J'avais trouvé des choses dans les livres mais c'était fortabstrait et peu passionnant. Je pensais qu'Armand pourrait me renseignerdessus et guider davantage. Cette perspective l'amusa lui qui avait étéun cancre notoire et que l'école rebutait toujours. Ce jour-làj’arborais une minijupe minimale.Je ne l'avais pas porté à dessein pour lui. Il faisait chaud en cet été.C’était de toute façon la mode chez les gamines de mon âge. Ainsivins-je à ...
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