1. Pute vingt ans après


    Datte: 02/05/2021, Catégories: Anal Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... lui juchée sur mes mules à talons hauts. Un chemisier laissantparaître la forme des nichons que je savais beaux et si irrésistibles.Jamais n'avais -je soutenu une conversation si longue et en intimitéavec cet homme. Mes parents étaient absents cette après-midi-là. Lebruit mignon et monotone d'un jet d'eau nous rendaient enclin à uneincertaine indolence et un sûr abandon. Tout me soufflait que cette vieétait belle et emplie de promesses.Armand aujourd'hui me signifiât que durant notre conversation je n'avaiseu de cesse d'écarter les cuisses et de lui offrir le spectacle d'uneculotte dont il pouvait s'aviser à moyenne distance qu’elle étaittransparente. En effet j'étais assise sur un tabouret tandis que luiœuvrait accroupi au milieu des légumes. Il ne pouvait ne pas regarder lefruit insolent qui rayonnait entre les cuisses. Il était étonné que jen'en eus pas conscience. Je protestais vingt ans après que c'étaitinvolontaire et que je n’avais pas voulu l'allumer. Il sourit. Je visque je ne vaincrais pas le scepticisme d'un vicieux.Quelque peu mal à l'aise, je lui dis que c'était maintenant une époquerévolue. Que j’avais pris des kilos. Que j''étais avachie. Je n'étaisplus ce mignon bout de rose qui l'avait ébloui. Ce n'était non plusfeinte coquetterie de ma part car je le pensais vraiment. Je recourais àplus d'artifices. Quand je chassais le mâle jeune en l'occurrencemaintenant, je m'attifais en sûre garce me maquillant avec outrance desfois. Je ne dédaignais pas de paraître la ...
    ... pute que j'étais et assumais.Je me gardais de confesser cela à Armand. Je tâchais de lui faire croireplutôt à l'épouse sage nantie d'un seul amant.Ce coquin crut devoir pourtant renchérir me renvoyant à un secondépisode résultant naturellement du précédent. Là aussi une certaineamnésie m'avait frappé. Les psys appellent cela refoulement. A l'époqueje commençais à fréquenter les boums où menaçaient force drague etalcool. Mes parents légitimement s'inquiétaient. Qui plus est de bonnefamille on ne devait pas s'exposer à un scandale. Bref la fille d'unevoisine revenue hâtivement de la fête fit courir le bruit que j'étaisivre et dansait sur les tables. Ma mère paniquée demanda à Armandd’aller et de me ramener.La vérité simple est que j'avais bu et allumais un peu les garçons etque l'autre fille venimeuse et jalouse de mes succès n'avait pas trouvémieux que de médire et de me calomnier. On ne m'informa pas moins qu'untype venu de la part de mes parents m’attendait au coin de la rue.J'étais furieuse. Outre d'être frustrée d'une folle ambiance, on mefaisait passer aussi pour une niaise, une mijaurée. Armand récupéra unefille rebelle et mortifiée par cette notable injustice. L'alcooln'arrangeait rien. Il me fit observer que j'étais vulgairement maquilléeet que ma minijupe m'exposait aux garçons.Je me souviens du regard assassin que je lui jetais. De quoi se mêle cetartufe si vicieux qui s'enquiert ici de faire la morale ? Il étaitnotoire que lui-même ne dédaignait pas de débaucher le ...
«1234...»