-
Pute vingt ans après
Datte: 02/05/2021, Catégories: Anal Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme
... promettait d'arriver à telle heure.Tout allait bien quant à la petite. Dans la voiture nous nousembrassâmes à pleine bouche. J’apprenais à le branler et même allais àle sucer ce qui vraisemblablement ne le désemparait pas dans saconduite. Nous étions devenus amants. Même pouvait-on dire étais-jedevenue sa petite femelle, sa pute déjà.Nous convînmes d'en garder bien sure le secret. Il m'apprit tout en uncourt laps de temps. Avec d'autres mots il me rapportât donc ce fameuxépisode. J'en fus secrètement émue. Tout cela était vrai et avaitbouleversé ma vie et conditionné le reste. Cela lui donnait-il desdroits sur moi ce jusqu'à ce jour ? En effet à la façon dont il lorgnaitmon cul j'eus idée qu'il avait envie encore de me prendre commeautrefois. A part qu'il était chenu, chétif et moi devenue une de cesgarces quadra et qu'on appelle couguars. C'est moi qui dominait àprésent, changement de situation. Lui étant le redevable.S'avisant de ce que j'essayais de cuisiner, il crut devoir me donner desconseils. J’avais oublié qu'entre talents il avait aussi celui de cordonbleu. Je dus convenir qu'il me sauvait la mise. En peu de temps le platfut préparé et lancé pour la cuisson. Il recueillit de moi un francsourire. Pris soudain de tendresse et de pitié, je considérais à présentce petit vieux voué à rentrer bientôt en un long hiver. Je me dis qu'ilvalait bien d’être récompensé pour son geste et pour ce qu'il avait étédécisif en ma jeunesse. Aussi en un instant fus-je accroupie devant ...
... luitel vingt ans en arrière.Je le suçais. Je faisais cela machinalement à nombre d'hommes. Un nombreincalculable de queues avaient depuis défilé en ma bouche. Lui ou unautre c'était pareil. Je me gardais de lui faire part d'une pensée sitriviale. Je ne le regardais pas. Avait-il comme la première fois cettegueule d'ahuri tandis que je lui attrapais le sexe ? Il s'ensuivit desgestes et une étreinte bestiale. Debout appuyée sur l'évier il me bourrapar-derrière. Il n'avait rien perdu de sa dextérité. On eût dit que laperspective d'un furtif coït l'avait transfiguré. Rien du vieux terne etrabougri de tout à l'heure.Je finis à quatre pattes sur le carrelage. Le cochon avec frénésie etaplomb m'enculait. Je jouis sans entrave. Hors mon mari il y a longtempsque personne ne m'avait sauté dans ma cuisine, sanctuaire entre tous.Glorieux il jeta : « Ton vieux vaut bien de jeunes amants, n'est-cepas ? » Agacée je crus devoir répliquer : « Et ben vois-tu l'autre conde voisin, ton ami me saute aussi bien ! » Ce qui était vrai. Memenaçant de chantage quant à un amant, celui-ci avait obtenu en effet deme sauter souvent. Je n'étais qu'une pute. Je concevais cela comme unmoindre mal et une formalité.Je me ravisais trop tard de la cruauté de mon propos. Pourquoi avais-jecru devoir humilier mon Armand ? Au bout du compte il avait été toujourscorrect et loyal avec moi. Je serais de toute façon passé à lacasserole. Armand avait été un bon maître et éducateur et là bêtement jele blessais. Je le pris ...