Banquière perverse (15)
Datte: 04/11/2017,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Rappel du chapitre précédent : Avec ma patronne, nous nous sommes allés dans un grand hôtel parisien pour assister à une réception mondaine qui semble-t-il doit durer assez longtemps pour qu’une chambre nous y soit réservée. J’ai eu l’honneur de conduire la Mercedes de Madame, ce monstre de 300 CV nous avait fait quelques frayeurs ; mais je réussis à maîtriser la bête. Pendant le repas, j’ai aussi fait la connaissance d’Émilie ; la gigolette d’un client de ma patronne, une véritable affamée de sexe que j’ai tirée sans aucune forme de procès. Dans la salle de restaurant. Après notre escapade hygiénique, Émilie et moi revenons à table pour la suite du repas. Ma chère patronne étant visiblement très occupée avec son voisin, nous pouvons bavarder tranquillement, ou plutôt nous peloter allègrement. Ma nouvelle copine a vraiment le feu aux fesses, elle n’arrête pas de toucher et de me parler de cul. Elle me dit que pour m’exciter encore plus, elle s’est assise fesses nues sur sa chaise et a aussi remonté sa minijupe, laissant ainsi voir le côté de sa fesse ; je regarde le spectacle, constate la réalité de la chose. Effectivement je me régale de ce joli spectacle au côté assez excitant, et je la complimente : — Tu sais que tu as de très jolies fesses, et assise de cette façon c’est super érotique ! — Merci, tu sais que tu n’es pas mal du tout non plus. Au fait, tu danses ? — Mal, les slows à la rigueur ; pourquoi ? — Il y a un club au sous-sol, ça te tente d’y faire un tour ? — ...
... Pourquoi pas ! Ça nous changera de cette ambiance un peu morose. Je pense qu’ils doivent tous parler affaires ! — Y a des chances, et puis je commence à me faire un peu chier. Alors, ce n’est pas grave si tu ne sais pas danser ; on fera autre chose, tu vas voir ! — Ah oui ? Et quoi ? — Il y a une scène et on peut faire un spectacle de baise, j’adore faire ça en public ; alors ? — C’est quoi ? Une boite de cul ! Attends, je préviens ma patronne ! J’interpelle Jelila et lui chuchote : — Jelila ! Je descends avec Émilie dans la boite de nuit au sous-sol. — Oui, attends ! Elle se retourne vers le mec d’Émilie, ils se parlent à l’oreille, et s’adresse à moi de nouveau: — Allez-y, nous vous rejoignons dans un instant ! Je rejoins Émilie. — Alors ? — Ils viennent ! Je la suis vers ce lieu assez mystérieux pour moi, sur la porte d’entrée une pancarte indique « Club Privé ». Elle sonne, on nous ouvre, un vigile deux fois plus large que moi nous accueille et reconnait Émilie : — Bonjour Émilie, comment vas-tu ? Ton nouveau copain ? lui demande le vigile en me désignant du doigt. — Ouais ça va ! Non ! Ce n’est pas mon copain, juste un bon coup pour ce soir! — Alors toi ! Tu ne changeras jamais. Elle lui claque la bise, et le vigile me serre la pogne ; putain ! Quand il serre celui-là, il serre ! — Dis Émilie, tu nous mets le feu ce soir ? — Évidemment, on fait comme dab ? — Oui, et ce soir c’est strictement privé ; alors vous faites tout ce que vous voulez, tout est permis ! — Cool, tu ...