1. Banquière perverse (15)


    Datte: 04/11/2017, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... maintenant entièrement nue devant tous ces mâles ventripotents, aux grosses bagnoles et à la bite trop courte pour baiser correctement ; je souffle ma réflexion à Émilie qui pouffe de rire. — Occupe-toi plutôt de moi au lieu de dire des conneries. Et caresse-moi partout, fais ça doucement ; je veux que tu m’excites comme jamais je ne l’ai été. Enfin elle a pitié de moi, elle se retourne et dégrafe mon pantalon qu’elle descend au sol. Je suis en string et teeshirt ; les femmes s’agitent, ouvrent la bouche, mais impossible d’entendre ce qu’elles disent à cause de la musique. — Tu as vu comment elles sont ? Tu les excites avec ton petit cul en string, tu vas voir, on va même faire bander les femmes ; je vais les rendre jalouses. Elle me retire mon teeshirt et fait glisser mon string avec sensualité et érotisme. Elle me caresse les fesses, les cuisses, le dos, le torse et revient sur mon sexe et mes testicules qu’elle masse avec soin et application ; c’est bon et je bande terriblement. Puis elle m’enlace avec tendresse comme deux amoureux qui dans ce moment de préliminaires ; où chacun fait tout ce qu’il peut pour amener l’autre vers un point de désir très fort. Elle se frotte à moi, ses tétons durcis par le désir grandissant frottent mes petits mamelons ; c’est le calme avant la tempête. Mon chibre est tendu, elle le prend en main presque en cachette en se collant à moi, et elle me le masturbe doucement. Moi, les doigts entre ses fesses, je lui titille l’anus ; elle tombe à ...
    ... genoux et embouche mon dard et le suce. Brusquement, elle se relève, m’entraine vers la scène et nous nous lançons dans un 69 effréné. Elle mouille terriblement, mais ce 69 est court, trop court ; elle me retourne et vient s’empaler sur mon phallus d’un coup sec. Elle se lance dans une chevauchée fantastique, elle se tord dans tous les sens comme si un charmeur de serpent jouait cette musique envoutante à faire se dresser et onduler un cobra. Tout à coup, elle se tire les cheveux, secoue la tête, s’attrape les seins, les malaxes, les broie, les étirent et se tire sur les tétons. Elle gémit, glousse et crie ; je viens de sentir son vagin se contracter et son ventre vibrer ; l’orgasme l’a mise en sueur. Elle s’arrête, se place à quatre et me dit : — Encule-moi, vite ! Je sais ce qu’elle veut exactement, c’est de la puissance qu’il faut et dans ce cas je n’hésite pas. Je l’empale directement, je la pistonne ; mes couilles se balances entre ses cuisses, elle cri : — Ah…Oui ! Ah…Oui ! C’est ça bon … ! Encore… ! Encore… ! Encoreee… ! Oui… ! Oui… ! Oui… ! Oui ! Oui ! OuiOui…Ouiiiiii… ! Je jouieeee… ! Puis elle se redresse et me dit : — Je vais te sucer, et après tu vas te branler sur ma tronche et dans ma bouche ; j’adore ça ces cochons aussi ! Elle me suce comme une folle, comme c’est bon ! Puis elle me suçote le gland, me le lèche à grands coups de langue, en fait le tour puis le masturbe. Elle le recrache ! C’est à moi d’agir, je me branle au-dessus de son visage et en peu de temps ...