1. Banquière perverse (15)


    Datte: 04/11/2017, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... viens Issam ! Puis nous sommes dans la place. C’est effectivement une boite de nuit avec tout ce qu’il faut : le dance floor, les tables, les banquettes, une estrade et la barre de pool dance, et bien évidemment le bar et la musique à fond. Coup de chance, c’est un slow qui tourne sur la platine. — Tu veux boire un coup ? me demande ma cavalière. — Oui, mais pas d’alcool ! — T’as raison, si on veut rester en forme, il faut faire comme les sportifs avant le match, pas d’alcool ! Après s’être enfilé un jus de fruits nous sommes au milieu de la piste quasiment déserte, presque tous les convives du banquet, le verre à la main, sont plus ou moins affalés sur les fauteuils et les banquettes. Ne sachant pas en quoi consiste son - comme dab - de tout à l’heure, je questionne Émilie : — Dis-moi, c’est quoi ton - comme dab - ? — On fait comme si on était amoureux avec le cul en plus. Tu les vois tous affalés sur leur siège ; ils viennent mater, c’est tout. Alors, tous ces gros porcs, on va les faire baver d’envie à en faire péter leur braguette. — Pour les porcs ! T’es pas un peu vache ? — Non réaliste, tu n’auras qu’à les observer du coin de l’œil quand ça va chauffer ; tu vas te régaler. Je te préviens t’as intérêt de mettre le paquet et me faire gueuler de plaisir. Allez, montre-moi comment tu roules une galoche ! « - Alors là ma cocotte, tu vas voir ce que je vais te mettre ! » Nous sommes au milieu de la piste, je l’enlace comme des amants de toujours ; j’ai l’impression de tenir ...
    ... Gladice dans mes bras. Cette fille si pétillante lui ressemble énormément et en plus elle sent bon le parfum ; je n’arrive pas à l’identifier, mais il est enivrant. Si nous sommes là pour baiser ! Je vais lui faire l’amour comme je le fais à Gladice, je ne penserai qu’à elle. Je commence à trouver le temps long sans elle, elle me manque ; mais elle rentre après demain ; j’ai hâte de la serrer dans mes bras. Émilie, suspendue à mon cou et moi les mains sur ses fesses, je la berce collé-serré, au rythme de « Still Loving You » de Scorpions, je l’embrasse à lui faire perdre le souffle. Elle se plaque contre moi comme une sangsue et ondule, ce qui a pour effet de faire rouler ma queue trop à l’étroit dans mon pantalon. Si le mouvement ainsi appliqué est très agréable, il a tendance à me faire bander de plus en plus. — Dis donc toi ! Tu embrasses aussi bien que tu baises ! Alors n’hésite pas à me peloter le cul, à lever ma jupe ; il faut les faire bander c’est mecs ! J’aime montrer mes fesses, ça m’excite terriblement ; je commence même à mouiller ! Je suis son conseil, alors je ne me gêne pas pour redessiner la courbe de ses seins, le creux de ses reins, le galbe de son dos, et la rondeur de ses fesses. Je m’arrête un instant à cet endroit pour la caresser avec la plus grande délicatesse, mes mains glissent sur le tissu comme si j’effleurais sa peau ; ma chérie adore que je lui fasse ça. De temps en temps, je plaque mes mains sur le tissu de sa jupe et je tire vers le haut pour ...