Le petit prof
Datte: 04/05/2021,
Catégories:
hh,
forêt,
caférestau,
douche,
amour,
humilié(e),
Transexuels
Oral
préservati,
hdanus,
hsodo,
amourdram,
regrets,
... avait ouvert le jean, et dégageait les fesses. L’espace d’un bref instant, Sébastien trouva stupide son idée de ne pas mettre de ceinturon et de ne pas porter de slip. L’autre en bavait : — Ben ma salope, même pas de petite culotte ! t’es vraiment pressé de te faire mettre. Tu vas voir comme ma grosse queue va te ramoner. Et pas que la mienne. Va y’avoir des volontaires. Pas tous les jours qu’on a une nouvelle petite pute. Sébastien balançait entre le dégout et l’excitation. Il n’était pas habitué à une telle crudité du langage. Il se sentait humilié, souillé. Mais le côté sordide de la relation l’électrisait. Il était stupéfié que l’homme l’ait immédiatement classé. La petitesse de son sexe au repos, sans doute. La main de l’homme lui malaxait les fesses, les ouvrait. Un doigt vint s’appuyer contre son anus, le titilla un instant avant de s’y enfoncer. — Humm, ça rentre comme dans du beurre! J’sens que tu vas aimer ma grosse bite.— Pas sans capote, murmura Sébastien dans un instant de lucidité.— Tu vas pas faire ta chochotte ! J’suis clean ! Regarde Josy, elle fait pas tant de manière. En effet, le beau pompier s’extrayait du cul du trav. À lueur de la lune, Sébastien constata que même à moitié débandé, il avait un sacré morceau et nul préso ne le recouvrait. — Tu vois ma poule ! Faut pas t’inquiéter, rajouta l’homme en lui frottant sa queue contre les fesses. Sébastien, paralysé, se laissait faire. La bite s’introduisit entre ses fesses venant cogner sa rosette. À cette ...
... seconde, Josy se releva. Dans le mouvement, son visage se trouva en pleine lumière. Il avait les lèvres fardées couvertes de foutre, le maquillage défait. Mais ce n’est pas cela qui frappa Sébastien. Il vit son visage. Éteint, désespéré. La bouche tombante. Une tristesse incommensurable. — Non ! Il repoussa son agresseur qui se retrouva le cul dans les feuilles. Il remonta son jean comme il put. Sans le refermer, il s’enfuit en courant sous les rires, les quolibets et surtout les insultes de l’autre qui voyaient son quatre heures s’évanouir. Il ne s’arrêta qu’arrivé à sa voiture. La porte ouverte, il s’installa au volant. Sans prendre la peine d’attacher sa ceinture, le jean toujours ouvert, il démarra en catastrophe. Après avoir roulé plusieurs kilomètres, il avisa un parking en bordure de la nationale, il s’y arrêta. Il put enfin se laisser aller. Il pleura plusieurs minutes. Quand il avait vu ce pauvre hère, ce vieil homme, il s’était vu quelques années plus tard. Voilà ce qui l’attendait s’il se laissait avilir. — Non, Sylvain, tu ne m’auras pas ! Pas comme ça ! C’est fini ! Électrochoc ! Et quel électrochoc ! Lui qui n’avait jamais voulu aller voir une pute, il avait failli en devenir une ! ------------------------- Show me the wayTo the next whisky barOh, don’t ask why Sébastien retrouva enfin son calme. Il reboutonna son jean. Il avait besoin d’un remontant mais la solitude de son appart ne l’inspirait pas plus que tout à l’heure. Il connaissait un bar à Bourg où les gays ...