1. Le mariage de Maître Charpin


    Datte: 04/11/2017, Catégories: fh, hplusag, jeunes, religion, complexe, soubrette, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Oral pénétratio, init, humour,

    ... réaction incongrue se manifestait dans son caleçon. Il aurait bien porté une main à cet endroit pour en calmer l’effet, mais un sursaut de conscience lui rappela les bonnes manières en société … ! D’ailleurs, Marguerite s’éloignait déjà, les cafés et les liqueurs seraient bientôt servis et le repas s’achèverait. Quelques jours passèrent, et un matin, Marguerite fut assez surprise de trouver une fleur dans la poche de son tablier. Elle en rosit de plaisir. Albert se déclarerait-il bientôt ? Certes il avait quinze ans de plus qu’elle, mais c’était encore bel homme. Et puis, elle frisait maintenant ses vingt-six ans et il serait souhaitable qu’elle ne soit plus la rosière de la maison. Eh oui, à cet âge avancé, elle gardait encore son pucelage. Elle ne rejetait pas les garçons, loin de là, mais elle se méfiait des conséquences… ! Ses relations amoureuses s’étaient donc résumées à des rencontres, la main dans la main. Bon, il y eu bien sûr, la main dans la chose… et la chose dans la main… mais jamais, au grand jamais il n’y eu la chose dans la chose… ! La belle s’en impatientait, d’autant qu’elle avait « dégoté » quelques livres qui en relataient l’exercice et même si ces lectures avaient provoqué un grand émoi, elle n’en était que plus frustrée. Ces ouvrages n’étaient pas pour autant des manuels de vulgarisation et de mise en pratique, mais plutôt de ces livres qui font rêver, le garçon toujours riche et courageux, la fille toujours belle et amoureuse. Bon, pour la fille, elle ...
    ... savait qu’elle ne désavouerait pas ces deux derniers adjectifs. Pour le garçon… ! Ben pour le garçon, ce n’était pas gagné ! Des courageux, à la limite, ça se trouverait, mais alors des riches, que nenni… ! Marguerite avait suffisamment vu ses parents suer sang et eau à la ferme en vue de boucler les fins de mois pour que l’aisance de la maison Charpin la subjugue. Un mariage avec le maître de maison l’agréerait. Cela ne changerait pas grand-chose dans son travail, mais agrémenterait ses nuits qui, pour le moment, lui semblaient bien froides et monotones. Cette fleur fraîche l’intriguait donc, surtout quelle fut suivie d’autres, toutes aussi fraîches et toutes aussi matinales. Elle les humait avec un certain ravissement, puis les déposait dans un vase dans sa chambre, les laissant faner doucement, mais ne les jetant jamais. Recevoir cet hommage quotidien la charmait, mais la laissait sur sa faim. Quand donc Albert se découvrirait-il ? Elle connaissait sa timidité et envisageait de prendre les choses en main. Antoine goûtait à des vacances méritées et commençait à oublier l’internat du lycée où il se sentait comme un prisonnier. Vive la liberté, vive sa nouvelle vie, cette future vie à la faculté dans la capitale. À lui la grande ville et ses petites femmes, attention mesdames, Antoine arrivait…. ! Il les voulait toutes, Il s’impatientait de les rencontrer, de les toucher. Un espoir qui lui fit tout de suite penser à Marguerite. Depuis qu’elle l’avait serré entre ses seins, une ...
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