1. Le mariage de Maître Charpin


    Datte: 04/11/2017, Catégories: fh, hplusag, jeunes, religion, complexe, soubrette, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Oral pénétratio, init, humour,

    ... même réaction s’en suivait immédiatement : une belle érection déformait son short et attirait inexorablement sa main. Il en arrivait maintenant à trois masturbations diurnes sans compter les nocturnes. Les femmes en général et Marguerite en particulier occupaient son esprit et ses journées. Pour Albert, le mois de juillet se traînait, il attendait impatiemment les vacances du mois d’août pour pouvoir côtoyer sa servante au quotidien. Il fallait qu’il trouve l’occasion pour lui prouver sa flamme. Quand enfin ce mois estival arriva, il était toujours indécis. Voilà déjà la trentième rose que recevait Marguerite de son soupirant. La trentième qu’elle posait sur le guéridon de la chambre. Émue, elle regardait la première qui lui avait été offerte, maintenant toute racornie, toute fanée. La servante y vit un signe, il fallait qu’elle provoque la demande en mariage. Ne pas attendre plus longtemps, sinon, elle ressemblerait bientôt à cette pauvre chose qui n’était que le souvenir d’une beauté éphémère. Antoine avait ses hormones qui bouillonnaient de plus en plus. Un de ses aimables amis lui procura quelques ouvrages, qui, à ses dires, le distrairaient. Bien que jeune homme ait reçu une éducation littéraire presque complète, ses professeurs, de dignes prélats forts érudits, avaient omis de lui faire connaître les textes que, dans une bibliothèque, on classait dans un endroit nommé « L’enfer ». Cela l’intéressa immédiatement. Albert, maintenant en congé, traînait son âme en peine, ...
    ... dans la maison, en regardant avec désespoir Marguerite qui vaquait à ses occupations. Ce lundi, jour de lessive, quand l’huissier traversa la buanderie pour se rendre dans sa cave à vin, une vision agréable arrêta sa progression. Des vêtements féminins attendaient, étalés sur une planche à laver, d’être sortis pour le séchage. La domestique étant la seule femme de la maison, ils ne pouvaient que lui appartenir. À côté, un tas de sous-vêtements attendaient le lavage. L’homme se pencha et s’empara d’abord d’un soutien-gorge dont la douceur sur sa joue éveilla ses sens. Quand il prit la culotte assortie et qu’il la porta à son visage, les effluves de celle-ci lui provoquèrent une érection comme il n’en avait plus connue depuis longtemps. Marguerite, retournant à la buanderie, fut surprise bien sûr du spectacle. Elle voyait de profil Maître Charpin, un soutien-gorge accroché à ses doigts et au creux de sa main gauche une culotte, qu’il pressait contre son visage. La main droite s’appliquait, elle, à fourbir un sceptre, somme toute de bonne taille. La soubrette y vit l’occasion rêvée. Elle se dirigea donc vers l’homme et se présenta, tout sourire face à lui. Antoine se concentrait de plus en plus sur ses lectures. Elles lui ouvraient des horizons nouveaux, une vision de la vie qu’il n’avait jusqu’à présent pas encore appréhendée. Il ne sortait plus beaucoup et étudiait scrupuleusement ces opuscules, il les dévorait et en connaissait la teneur par cœur. Il passait le plus clair de ...
«1...345...10»