1. Ma Logeuse Ch. 06


    Datte: 05/05/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... coup...bien meilleur depuis quelques semaines sans qu'il cherche à savoir pourquoi...pour toi, je suis bien autre chose non? » Je relevais les yeux vers elle. « Madame, comment vous dire...vous êtes la Maîtresse à qui je me donne corps et âme...vous êtes en quelque sorte ma Déesse. » Elle eut un sourire triste. « Alors accepte que je prenne du plaisir en dehors de toi...mais rassure toi, tu ne quittes jamais complètement mes pensées » Des larmes me montaient aux yeux. Je pris sa main et y posait des baisers. Elle me laissait faire sans rien dire en me caressant la tête. La journée fut un peu triste. Je me sentais dans un état bizarre après ma nuit blanche. Hélène semblait, elle-même fatiguée. Nous fîmes une sieste l'un et l'autre pour essayer de récupérer. Le soir se passa de manière plus décontractée. Elle me fit à nouveau passer la soirée sous ses pieds que je léchais à n'en plus pouvoir. Puis nous partîmes nous coucher, moi sur le tapis de sa chambre, elle dans son lit. Elle me réveilla encore une fois par un aller-retour aux toilettes, allant jusqu'à me marcher dessus dans son demi sommeil. Le début de la semaine suivante se passa sans incident. J'étais assez pris par mes études et Hélène rentrait tard du boulot, semblant un peu préoccupée. Le jeudi, je rentrais tôt de l'école et, comme c'était maintenant mon habitude, je me déshabillais entièrement pour commencer mon travail. J'avais du mal à me concentrer et je réfléchissais à tout ce qui m'arrivait. J'étais tombé ...
    ... follement amoureux d'une femme un peu sadique...cela faisait quinze jours que je ne m'étais pas 'vidé' comme elle disait, et au moins six semaines depuis que je n'avais pas éprouvé un véritable orgasme. Je finissais par m'habituer à ce manque de plaisir, à éprouver même une étrange délectation à ce désir continuel qui me brûlait, à la douleur parfois très vive que ma cage m'infligeait. Je donnais ma jouissance à Hélène et cette pensée m'enthousiasmait. Je savais qu'elle éprouvait un plaisir pervers à voir mes grimaces quand les barreaux d'acier mordait les chairs tendre de mon gland à cause de mon désir pour elle. Alors que j'étais perdu dans mes pensées, Hélène rentra. Il était 17h15 inhabituellement tôt pour elle. « Pascal, où es tu...je suis rentrée » Je descendis l'escalier pour venir lui dire bonjour. Nous nous fîmes la bise comme deux camarades. Elle semblait énervée. « Madame, ça va? » « Oui, oui, ça va » Je remontais dans ma chambre pour reprendre mon travail. Je l'entendis monter dans sa chambre, et fermer la porte. Un quart d'heure plus tard, elle m'appela à travers la porte. « Pascal, viens là » Je m'approchais et frappais à la porte. « Entre » Je rentrais pour découvrir un spectacle incroyable. Elle était allongée sur son lit, genoux relevés, jambes écartées, nue jusqu'à la taille en dehors des bas qu'elle avait conservé. Elle se caressait le clitoris de manière effréné d'une main, tandis qu'elle faisait aller-et-venir dans son vagin un godemiché noir de l'autre, ...
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