1. Une professionnelle dévouée


    Datte: 05/05/2021, Catégories: Anal Mature, Partouze / Groupe

    ... M. Schmitt.- Oh je suis désolée, répondis-je alors, je vous assure que cela ne se reproduira plus.- Vous m’avez déjà dit cela la dernière fois, Séverine !Et sur ces mots, il lève la main et l’abat fermement sur la fesse dans un grand bruit de claquement. Je pousse un petit cri de douleur en me disant qu’il jouait bien la comédie mais que cette claque n’avait rien de simulée… Il me met une autre claque sur l’autre fesse et me voyant peu réagir, enchaîne avec une autre, bien plus puissante, qui m’arrache un cri de douleur. Heureusement qu’à cette heure et à cet étage (réservé à la direction), personne ne peut donc nous entendre.- Cessez cela, M. Roland ! Je suis sûr qu’elle a compris son erreur… et ce n’est pas ce que j’attends de vous !- Si j’arrête maintenant, elle recommencera sans crainte… Et je ne peux le tolérer !Et là-dessus il continue à me claquer le cul plus ou moins fort. Je sais qu’il s’agit d’une mise en scène mais la douleur n’est pas simulée, ni l’excitation de me faire punir en public qui commence à m’échauffer le bas ventre d'ailleurs. Mes cris deviennent des gémissements, des Mmmhh, des Ahhh, des Ooohh de plus en plus expressifs.- M. Roland, vous pouvez arrêter, on dirait qu’elle apprécie plus qu’autre chose… fit remarquer le client.Mon patron en profite pour pousser sa chance car M. Schmitt ne semble pas prêt à lâcher l’affaire aussi facilement.- Ah vous aimez ça, Séverine ? Et bien on va passer un cran au dessus, alors…- Oh non, M. Roland, je vous en ...
    ... supplie… Laissez-moi partir !Mais sans me répondre et tout en fixant le client de plus en plus intéressé, il saisit ma culotte à 2 mains et la baisse d’un coup. Il m’écarte les fesses et passe un doigt sur mon sexe alors très humide.- Vous aviez raison, dit-il au client, elle aime ça ! Regardez comme elle mouille…- Oh mon dieu… c’est trop humiliant ! Laissez-moi partir M. Roland, s’il vous plait !Le client, dont la vue de ma chatte chaude et humide commence à faire s’évaporer son éthique, passe lui aussi, mais plus timidement, un doigt sur mon sexe pour constater mon degré d’excitation. C’est y est, me dis-je, il est ferré !- Désirez-vous la punir vous-même ? demande mon patron au client- Non, ce ne serait pas... et puis pourquoi pas !Et là-dessus il se met à me frapper le cul à son tour. D’abord timide, il prend vite de l'assurance et me fouette de plus en plus violement. Alors que je sentais que mon patron se retenait parfois, lui donne son maximum à chaque coup. Mes fesses chauffaient sous les claques et je sentis que je ne pourrais plus tenir ce traitement longtemps. Mon patron, de nouveau assit à son bureau me regardait de face me faire corriger avec un sourire complice. Je lui dis, sans émettre de son, un « j’en peux plus » qui le fit intervenir :- Mouille-t-elle encore ? Demanda mon patron- Oh oui, votre collaboratrice aime vraiment se faire punir… Ah si je pouvais traiter tous mes litiges comme cela !- Alors c’est que la punition n’est pas adaptée… Si se faire frapper lui ...
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