Une professionnelle dévouée
Datte: 05/05/2021,
Catégories:
Anal
Mature,
Partouze / Groupe
... procure plus de bien que de mal, nous allons essayer autre chose.M. Roland me contourne alors, caresse mon sexe dégoulinant et insère un doigt dans ma chatte.- Vous aimeriez bien vous faire baiser, n’est-ce pas ? Vous voudriez jouir, hein Séverine ?- Oh mon dieu oui, je n’en peux plus M. Roland. J'ai envie qu'on me prenne !Et alors qu’il continuait de me doigter la chatte, il s’adresse au client :- S'il y a bien une chose que j’ai appris des femmes, c’est que peu d’entre elles apprécient la sodomie… Certaines la tolèrent pour l’homme qu’elles aiment mais peu apprécie l’acte… surtout quand c’est un inconnu qui le pratique… à sec.Il retire alors son doigt de mon vagin et l’insère dans mon cul.- N’est-ce pas Séverine… Vous avez voulu « enculer » ce monsieur dans son contrat, il va vous rendre la monnaie de votre pièce.- Oh non pas là !! feignais-je. Je ne l’ai jamais fait, il va me déchirer !!- Au moins, cela vous fera retenir la leçon. M. Schmitt, elle est à vous.J’entends alors le client se défroquer et, sans doute attiré par mon sexe trempé et bien ouvert autant que par mes supplications pour qu'il me baise la chatte, je le sens s’enfoncer dans mon vagin. L’engin de monsieur est semble-t-il de taille très correcte et me fait de l’effet immédiatement. Mais aussitôt, M. Roland intervient :- M. Schmitt, vous devez lui donner une leçon, non pas lui donner du plaisir !Le client se reprend, sort de ma chatte et fait pression sur mon anus. Mon expérience grandissante de ce coté ...
... de mon anatomie fait qu’il s’enfonce facilement dans mon cul et en totalité. Au fur et à mesure où il m’enfile, je le supplie d’arrêter, le supplie de me baiser normalement mais pas par là. Et plus je le supplie d’arrêter, plus il semble excité de continuer.Au bout de quelques instants, ce client mécontent me lime déjà sans ménagement le fion, s’enfonçant le plus profondément et le plus brutalement à chaque fois. Son ventre tape sur mes fesses en rythme avec mes gémissements simulés de douleurs. Car en réalité, ce n’est ma foi pas désagréable... Mon cul est tout de même généreusement défoncé, même si le traitement n’est pas du même niveau que ce que mes pervers de fils m’imposent régulièrement.Soudain, M. Schmitt se retire, me prend par les cheveux et me place par terre à quatre pattes, tête plaquée contre le sol, cul bien relevé. Sans écouter mes fausses supplications, il me pénètre à nouveau le fion et continue la sodomie à un rythme effréné.- Oohh… assez, s’il vous plais, je n’en peux plus ! lui dis-je au bout de quelques minutes en tendant la main vers mon patron qui, lui, ne disait rien et regardait la scène, subjugué.Je sens alors le client accélérer puis craquer dans un dernier coup de boutoir en m’envoyant tout son foutre au fond de mon intestin. Puis il se retire et se rhabille me laissant dans cette position humiliante, cul relevé, anus bien ouvert.- Très bien Séverine, me dit mon patron, rhabillez-vous et laissez nous. Nous allons pouvoir maintenant régler cette ...