Une professionnelle dévouée
Datte: 05/05/2021,
Catégories:
Anal
Mature,
Partouze / Groupe
... retrouve avec son petit sexe tout mou.Je fis alors une remarque qui fit bien rire les Da Silva mais que j’allais regretter :- Bon maintenant qu’on en a finit avec les couilles molles, on va pouvoir passer aux choses sérieuses les frangins !!- Espèce de salope ! répondis Muller, vexé. Tu vas t’en mordre les doigts…Et là-dessus il se renfroque et sort de l’algeco en me laissant seule avec les portugais.- Maintenant que la petite bite est partie, dis-je en récupérant les quelques goutes de spermes coulant de mon fion, ça vous dirait un double ?- Putain, mais t’es insatiable toi ??Je demande donc à Miguel, le plus large, de se mettre par terre et m’enfonce sur lui. Manuel se place derrière moi et m’encule prudemment, comme je lui ai demandé, car les conditions ne sont pas les mêmes. Puis, une fois leurs queues bien enfoncées en moi, ils commencent à aller et venir, chacun à leur rythme. Le plaisir est immense tant mes orifices sont élargis, dilatés. A un moment, leurs rythmes s’accordent et leurs queues vont et viennent en même temps. Je sens alors le plaisir se décupler et leur supplie alors :- Oh mon dieu, c’est trop bon !!! Continuer comme ça, bien en même temps. Oh putain oui, défoncez-moi bien en même temps.Imaginez alors ces 2 gros sexes sortir de mes orifices en même temps et me remplir ensemble. Imaginez mon vagin et mon cul se faire remplir et écarteler en même temps en comprimant la fine peau qui les sépare. Imaginez cela répété des dizaines de fois à un rythme ...
... effréné. Imaginez mon corps fragile coincé entre ces 2 hommes massifs excités comme des animaux et râlant comme des bête pendant qu’ils me défoncent. Imaginez moi jouir comme une chienne, hurler sans retenue et presque pleurer de plaisir.Et bien cette magnifique scène, c’est celle qu’ont découvert avec stupeur la dizaine d’ouvriers que M. Muller venait au même moment de faire rentrer dans l’algeco !Suite :Leur intrusion nous figea tous d’un coup et j’avais la bouche ouverte de terreur en les voyant tous rentrer en une file interminable.- Bon les frangins, vous laissez votre place… vous finirez après ! ordonna Muller aux Da silva qui étaient encore enfoncés en moi.- Mais… tenta Miguel- Ya pas de mais, tu fais ce que je te dis. C’est à mes gars de se détendre un peu avant de retourner au boulot !- Vous êtes malade ! criais-je alors. Vous ne croyez quand même pas que…- Ta gueule pétasse ! Tu as voulu jouer à la salope, tu assumes.Puis il se tourne vers ces ouvriers :- Messieurs, je vous présente Séverine, pute professionnelle, grassement payée par notre employeur pour nous satisfaire pleinement. Elle est à vous, vous pouvez lui faire ce que vous voulez, même si elle dit non, c’est une bonne comédienne. Son patron la paye aussi pour ça.Sans en avoir le choix, les Da Silva me libèrent donc et je vois 5 ou 6 ouvriers s’approcher de moi. J’étais totalement impuissante et en même temps excitée comme jamais par la double que j’étais en train de subir, tous mes trous dilatés n’attendant qu’à ...