Une professionnelle dévouée
Datte: 05/05/2021,
Catégories:
Anal
Mature,
Partouze / Groupe
... se faire bourrer à nouveau. Ma chatte dégoulinait de mouille et mon anus était largement ouvert. N’importe qui en aurait conclu que je n’étais qu’une salope bonne à baiser à volonté. Je n’ai même pas essayé de résister et ai subi l’assaut de toute une équipe d’ouvriers.Vous raconter tout en détail serait beaucoup trop long alors je vais résumer.Des hommes tous plus baraqués les uns que les autres m’ont soulevés et m’ont mis à genoux sur le siège de bureau, cul tendu vers eux. Ils m’ont prise à tour de rôle dans cette position, aussi bien dans la chatte que dans mon cul. En tout cas au début car, comme la plupart des hommes, ils se sont rapidement concentrés sur mon fion et ne l’on plus lâché.Je me contentais de m’accrocher au dossier, bouche grande ouverte à cause de l’intensité de cette tournante, pendant que, derrière moi, des hommes dont j’ai perdus le compte abusaient de mon cul à tour de rôle. Toutes sortes de bites m’ont pénétrés l’anus : des grosses, des petites, des noires, des blanches, des tordues, des bien droites…Au bout d’un moment, mon fion commençait vraiment à me faire souffrir mais je serais les dents pour ne rien exprimer. Idem pour les commentaires des ouvriers, tous plus insultants les uns que les autres. Ils déversaient leur frustration sexuelle sur moi avec autant de considération que pour une poupée gonflable. Quatre gars étaient restés de coté et se contentaient de se branler en regardant car, d’après ce dont je me souviens, ils voulaient restés ...
... fidèles à leurs femmes.Les autres eux ne chôment pas, mais étant donné leur nombre, certains trouvent le temps long en attendant leur tour. Et ce qui devait arriver arriva, ils décidèrent de s’introduire à plusieurs en moi. Je suis donc à nouveau placée au sol, empalée sur un gars laid comme un pou pendant que les autres me prennent en double à tour de rôle. Je subissais complètement les évènements et ne contrôlais absolument rien. On me baisait la bouche avec des bites puantes, on me tenait les mains pour que j’en branle d’autre. Bien sur, je gémissais, je criais, mais c’était moins par plaisir que du fait de la douleur ou de la fatigue. Et mon excitation déclinait au profit de la douleur, de l’humiliation et de l’envie d’en finir.Sur les conseils avisés de leur patron, les ouvriers deviennent de plus en plus pervers. Ils me crachent dessus, me font lécher leur cul puants, me mettent des claques, me giflent avec leurs bites. Ils se déchainent comme des furies et me rabaissent autant qu’ils le peuvent. Profitant d’un vide momentané dans mon colon, celui dans ma chatte se retire et s’enfonce dans mon cul pour en profiter à son tour. Mais ceux qui ce succédaient derrière moi se retrouvent privés de trous et n’ont que deux possibilités : arrêtez de me baiser ou me prendre eux aussi dans le cul et donc m’en mettre deux en même temps ! Vous devinez bien ce qu’ils ont choisis…Encouragé par le patron et les autres ouvriers hystériques, un premier mec tente cette pénétration inédite pour ...